Débat pour l'élection du responsable du projet Debian 2005

Transcription du débat

Introduction

Helen :
Nous donnons juste à Jonathan quelques minutes pour nous rejoindre, au cas où il serait en retard.
Martin :
Martin Krafft lance un roulement de tambour.
Helen :
Bien ! :) Bonjour à tous et bienvenue au débat IRC pour l'élection du responsable du projet Debian 2005.
Je m'appelle Helen Faulkner et je vais présider le débat avec madduck (Martin Krafft). Les candidats à cette élection sont Matthew Garrett, Andreas Schuldei, Angus Lees, Anthony Towns, Jonathan Walther et Branden Robinson. Pour le moment Jonathan Walther manque à l'appel, j'espère qu'il nous rejoindra très bientôt...
La forme du débat a été décrite dans https://lists.debian.org/debian-vote/2005/03/msg00507.html. Dans la première moitié de ce débat, je poserai des questions limitées en temps à tous les candidats. Ils enverront leurs réponses à #debian-dpl-replies qui n'est pas ouvert au public, même si les journaux seront disponibles plus tard. Martin Krafft rassemblera les réponses et les renverra ici.

Première partie du débat — Questions et réponses

Stratégie pour la périodicité de publication des versions

Helen :
Le temps imparti pour la première question est de 5 minutes :

Un sujet qui revient constamment est la stratégie et la périodicité de publication des versions, et — thème de débat — la périodicité actuelle n'est pas optimale. En supposant que vous soyez d'accord, veuillez exposer ce que vous considérez être une bonne stratégie (ou la stratégie optimale) de publication, et expliquer brièvement pourquoi. Comment voyez-vous la position du responsable du projet Debian par rapport à la stratégie de publication ? Si vous êtes élu, quel pourrait être votre prochaine étape pour conduire Debian vers la périodicité que vous envisagez ? Si vous n'êtes pas d'accord avec ce qui précède et pensez que la stratégie et la périodicité de publication sont suffisamment bonnes, veuillez expliquer votre position.

Branden Robinson :
Je pense que la principale responsabilité du responsable du projet Debian vis à vis de la gestion des publications est de s'assurer que les responsables de publication reçoivent l'aide et les ressources dont ils ont besoin. La proposition récente que j'ai décidé d'appeler « perspective de Vancouver » a bien fait avancer les choses en ce qui concerne l'explication à l'ensemble de développeurs des exigences de la gestion des publications. C'est bien plus que de corriger les bogues critiques pour la publication de la version, aussi critiques soient-ils. Comme je l'ai dit dans mon message récent sur -vote, il s'agit du début, pas de la fin du processus de gestion des publications. L'équipe actuelle de gestion de la publication a toute ma confiance et mon respect. En tant que responsable du projet Debian, je prendrai l'engagement de travailler avec eux au mieux de mes capacités pour que leurs besoins soient satisfaits. Cela comprend bien sûr d'éviter des trolls — bien qu'ils soient amplement capables de les affronter eux-mêmes. :)
Anthony Towns :
La stratégie de publication est principalement à la charge des responsables de la publication. Je pense que la tâche principale du responsable du projet Debian est de soutenir leur rôle, et de s'assurer qu'ils disposent des ressources nécessaire à leur action, comme pour organiser des rencontres tel que l'ont fait Andreas Schuldei et Steve à Vancouver, et de les assurer que les autres équipes sont conscientes des besoins de l'équipe de publication, et vice versa. Il y a beaucoup d'avantages à faire partie de l'équipe de publication simplement en s'assurant que les autres équipes — comme les équipes Gnome ou KDE ou l'équipe de l'installateur Debian —fonctionnent efficacement. Je pense que la stratégie de publication idéale aboutirait à des publications régulières, sur une base de six, neuf, douze ou dix-huit mois ; idéalement au jour près. Je pense que la proposition de l'équipe de publication pour Sarge et Etch est bonne, qu'en élaborer les détails sur les listes de diffusion est la meilleure des approches.
Matthew Garrett :
Je crois que Debian devrait publier plus rapidement, mais outre cela je crois que les détails devraient essentiellement être laissés à l'appréciation de l'équipe de publication. Les propositions actuelles sont quelque peu sujettes à controverse, et j'admettrai heureusement ne pas être un grand partisan de l'idée de réduire notre support d'autres architectures. Cependant, l'équipe de publication est en charge de ce travail. Maintenant qu'ils ont fourni plus d'informations sur les problèmes qu'ils rencontrent, il y a une possibilité d'essayer de trouver d'autres voies pour résoudre ces problèmes. L'équipe de publication est actuellement responsable de ce travail — si personne ne peut fournir de choix acceptables, alors nous devons les soutenir dans les leurs.
Angus Lees :
Le responsable du projet Debian devrait représenter l'avis du projet concernant la périodicité de publication, c'est-à-dire l'avis de l'équipe de publication. Être responsable du projet Debian devrait donner peu de poids par rapport au développeur moyen. Personnellement je pense que réduire le nombre d'architectures en sera une partie nécessaire. Étant donnée l'existence de la distribution de test, je pense que la périodicité de publication optimale pour la distribution stable
Jonathan Walther :
Je crois qu'OpenBSD a développé la stratégie de publication optimale. Cependant je crois que l'équipe de publication, lors de sa rencontre à Vancouver, a fait un grand pas en avant, pas qui bénéficiera grandement à Debian.
Andreas Schuldei :
Le travail des responsable du projet Debian est de trouver les bonnes personnes pour gérer la publication. Je pense que l'équipe actuelle est excellemment qualifiée et qu'elle a travaillé sur les problèmes rencontrés depuis déjà un certain temps. Mon travail en tant que responsable du projet Debian serait d'essayer de les aider à résoudre les problèmes qui sont hors de leur portée. Ce serait à eux de trouver la meilleure des stratégies de publication.

Processus du nouveau responsable

Helen :
Le temps imparti pour la deuxième question est de 4 minutes :

La file d'attente des nouveaux responsables a récemment été « réactivée » grâce (en partie) à un ajout d'effectif. Où pensez-vous que sont les forces de l'approche actuelle d'accueil des nouveaux responsables, et quelles faiblesses pouvez-vous identifier ? De quelles façons le processus actuel du nouveau responsable assure-t-il qu'un futur développeur détient les connaissances nécessaires, et où échoue-t-il ? Que pourriez-vous faire après votre élection pour améliorer encore la situation ?

Jonathan Walther :
Cela fait huit ans que j'ai passé le processus du nouveau responsable. Je ne l'ai pas regardé depuis. Comme nous continuons à accueillir de nouveaux développeurs, cela doit fonctionner correctement. Si quelqu'un connaît des problèmes avec la file d'attente des nouveaux responsables, il est invité à me les faire remonter, avant, après et pendant les élections. Votez Jonathan Walther !
Andreas Schuldei :
Le processus du nouveau responsable aide les gens entrant dans le projet à atteindre un bon niveau de compétences sur les questions techniques actuelles. Il y a toujours des problèmes avec les compétences humaines. En quelque sorte nous filtrons sur l'endurance et la patience, pas sur la capacité à coopérer. Il pourrait être bon d'ajouter une partie sur les compétences humaines au processus et de communiquer sur la façon dont les nouveaux responsables devraient se comporter.
Matthew Garrett :
Je n'ai pas de raison particulière de me plaindre des compétences des récents nouveaux responsables, je suis donc assez satisfait des tests que nous réalisons. Encore une fois, je ne pense pas vraiment que le travail du responsable du projet Debian soit d'interférer avec le fonctionnement d'un système à moins qu'il n'y ait manifestement quelque chose de mauvais, et autant que je sache, la plupart (si ce n'est tous) les gens qui travaillent sur les nouveaux responsables réalisent un excellent travail.
Branden Robinson :
Le processus du nouveau responsable est ferme car il écarte ceux qui ne sont intéressés que de façon désinvolte. L'inconvénient est qu'il est si sévère qu'il peut effrayer ou faire fuir des gens qui pourraient contribuer de façon intéressante. Certains des candidats au poste de responsable du projet Debian cette année (dont aj et moi-même) sont rentrés sous l'ancien système, et je ne pense pas que quiconque puisse nier que nous avons beaucoup contribué au projet. Un bon début, en tant que responsable du projet Debian, serait simplement de parler avec l'équipe des nouveaux responsables et de découvrir quelles sont les plaintes des candidats actuels. Il y a aussi une question légendaire difficile sur le chargement dynamique des bibliothèques dans la partie sur les compétences qui pourrait peut-être être supprimée.
Anthony Towns :
Je me suis déjà exprimé sur les nouveaux responsables sur -vote ; mais je vais résumer ma pensée. Je pense qu'il reste quelques failles dans le processus des nouveaux responsables ; et notamment cela prend beaucoup de temps. J'ai été accepté dans Debian environ une semaine après mon dépôt de candidature, et seulement pour entretenir « distributed-net-pproxy », dans l'archive non libre. Maintenant, les gens doivent couramment attendre plusieurs mois avant d'entrer, ce qui est loin d'être idéal. J'aimerais voir le processus des nouveaux responsables se concentrer plus sur le rôle de conseiller, afin que la section « tâches et compétences » au moins, et certaines parties de la section sur la philosophie et les procédures consistent principalement en du travail sur des paquets réels avec de vrais responsables de paquets, plutôt qu'à remplir des questionnaires, ou au travail sur de nouveaux paquets pas toujours très utiles. Il y a plus de détails dans mon envoi sur -vote, et je pense que l'exemple du projet de guide -women vaut la peine d'être suivi, mais d'autre détails devront être élaborés au cours du temps.
Angus Lees :
Le processus du nouveau responsable sert à écarter les gens qui ne conviennent pas (soit techniquement soit parce qu'ils ne sont d'aucune aide). La façon (inculte) dont je le comprends est que peu de personnes sont actuellement détournées de manière *active* par ce processus, et que Debian s'occupe certainement peu de ces gens une fois qu'ils sont rentrés. Cela démontre probablement que presque tous les gens qui travaillent à ce processus le font correctement et que nous devrions donc optimiser un peu ce processus. En particulier, je ne suis pas sûr du tout que les développeurs Debian actuels survivraient aux questions que nous posons aux nouveaux développeurs qui en savent beaucoup. Peut-être que forcer *tous* les développeurs Debian à se faire réévaluer régulièrement nous enjoindrait à porter plus d'attention à la justesse du processus du nouveau responsable — ainsi que cela nous permettrait de nous débarrasser des disparus ou des responsables qui ne peuvent plus répondre à la demande.

Taille de Debian

Helen :
Le temps imparti pour la troisième question est de 5 minutes :

Il a souvent été dit que Debian croissait trop rapidement. Quelles sont les influences positives et négatives qu'a la taille actuelle de Debian sur le projet ? En fonction de ce que vous voyez pour Debian à l'avenir, quelles décisions prendriez-vous en tant que responsable du projet Debian pour faire rétrécir ou grandir le projet, ou bien pour le maintenir à sa taille actuelle ?

Anthony Towns :
Debian est fantastique en tant que grand projet ; plus nous pouvons supporter d'architectures, de paquets, de développeurs et d'utilisateurs mieux c'est. Tous apportent leurs problèmes cependant ; les nombreuses architectures sont un sujet chaud en ce moment ; mais les autres posent aussi leurs problèmes : les nombreux paquets rendent difficiles le choix des programmes à installer pour les utilisateurs, le suivi des bogues, ainsi que la fourniture de services qui en dépendent (comme les démons de construction, les archives, les miroirs ou lintian.debian.org). Les nombreux développeurs rendent difficiles le consensus sur une question et la compréhension de ce que chacun fait dans le projet. Les nombreux utilisateurs font que vous n'avez jamais le droit à l'erreur. :) Je pense que Debian est sur le point de résoudre ces problèmes aussi bien que possible et de faire un système d'exploitation qui fonctionne aussi bien que possible pour tout le monde.
Matthew Garrett :
Il n'est pas évident que la question se réfère à la taille de l'archive ou au nombre des personnes impliquées. Dans le premier cas, je pense que cela dépend de l'équipe de publication — s'ils croient que nous pouvons éditer une version avec une archive de cette taille, alors nous devrions le faire. Sinon, alors nous devrons commencer à réfléchir à des moyens d'en réduire la taille. La large gamme de logiciels que nous proposons est évidemment quelque chose qui plaît à nos utilisateurs, et il serait bon que nous puissions continuer à la fournir. Si c'est en nombre de personnes impliquées, alors le problème évident est qu'il est plus difficile de conserver un sens fort dans une seule communauté. Je ne pense pas que la croissance de Debian soit un problème intrinsèque, nous avons besoin de pouvoir communiquer plus facilement à l'intérieur du projet. Avec un petit groupe de développeurs, on peut penser que les informations circulent. Avec un millier de personnes impliquées, nous avons besoin d'être plus rigoureux pour nous assurer que les gens sont tenus au courant de tout ce qu'ils doivent savoir.
Angus Lees :
En plus de son attitude face au logiciel libre, la taille de Debian est probablement son avantage le plus significatif. Comme le nombre de développeurs peut (à peu près) augmenter en même temps que le nombre de logiciels libres empaquetés, Debian peut offrir à chaque paquet bien plus d'attention que n'importe quelle autre distribution. Cela se voit très bien dans la complexité (et l'utilité) de nos scripts de postinstallation comparé au (disons) paquet Red Hat moyen, un « .tar.gz avec des dépendances ». Je pense que le projet croît à un taux raisonnable actuellement, et tout ce que nous (et le responsable du projet Debian) avons à faire est de prendre garde aux goulots d'étranglement qui ne s'élargissent pas avec le nombre de nos membres. Ce fut le cas pour les responsables des comptes de Debian, ce qui est corrigé maintenant — le prochain sera peut-être l'équipe de sécurité (je n'en ai aucune idée tant que je n'en ai pas parlé avec les personnes impliquées dans les divers domaines).
Andreas Schuldei :
Les groupes qui ne croissent pas stagnent. Mais Debian peut croître beaucoup plus s'il réussit à gérer le processus de manière souple. Plusieurs bouchons ont été atteints, limitant sévèrement sa croissance. L'approche par petites équipes que j'ai présentée dans mon programme est la seule voie démontrée pour permettre aux groupes sociaux de croître encore sans perdre leur caractère ni leur idéal. Avec son aide, il y aura un bon point d'entrée pour faciliter l'existence à tous les niveaux des développeurs et des utilisateurs.
Jonathan Walther :
Je suis fait pour travailler peu. Plus on est de fous, plus on rit ! En tant que responsable du projet Debian, je laisserai les choses se développer d'elles-mêmes, comme elles l'ont fait jusqu'à présent. Lorsque nous aurons atteint notre limite naturelle de croissance, nous arrêterons de grandir sans avoir besoin de l'intervention du responsable du projet Debian.
Branden Robinson :
La grande taille de Debian, en population de développeurs, base d'utilisateurs et taille d'archive (grâce à la fois à la variété des paquets et des architectures supportées), est à la fois un bien et un mal. Cette grande taille nous rend attractifs pour une large audience, et souvent le paquet Debian officiel d'un projet de logiciel libre dont vous avez entendu parler est juste à portée d'apt-get (NdT : l'outil de gestion des paquets qui fait toute la force de Debian). Cependant, cette grande taille signifie que nous avons accumulé beaucoup de choses inutiles. Je pense que Martin Michlmayr a réalisé un bon travail sur les développeurs disparus, mais nous avons probablement besoin de plus de gens pour le faire si nous trouvons des volontaires. Certains paquets de Sarge n'ont pas été revus depuis Woody — il faudrait au moins les regarder. Gérer la croissance est un des défis majeur de toute organisation — beaucoup d'entreprises échouent parce qu'elles n'y arrivent pas. À mon avis, la meilleure des façons pour le faire est de garder les yeux ouverts, et de se remémorer le contrat social : Ne pas cacher les problèmes.

Debian et SPI

Helen :
Le temps imparti pour la quatrième question est de 5 minutes :

SPI est la vitrine légale de Debian et détient tous ses avoirs. Elle a été créée pour permettre à Debian de se concentrer sur le système Debian sans trop avoir à s'occuper des questions administratives. Comment les relations entre SPI et Debian ont-elles changées depuis la fondation de SPI ? Quel est le rôle de Debian dans SPI, et que devrait-il être ? Comment Debian pourrait-il mieux utiliser SPI ?

Jonathan Walther :
En tant que responsable du projet Debian, je sonderais immédiatement les développeurs de base pour trouver un bon comptable, afin de le recruter à temps partiel pour gérer les comptes de Debian. Par extension, cela inclurait également les comptes de SPI. L'année dernière, Debian a perdu 18 000 dollars par manque d'infrastructure adéquate pour gérer les dons. Cela ne devrait pas arriver. Si le comité directeur de SPI est d'accord, ça n'arrivera plus. Le coût d'un comptable à temps partiel n'est que de 6 000 dollars par an. En considérant l'enjeu, 18 0000 dollars, ça en vaut la peine.
Branden Robinson :
À mon avis, les relations entre Debian et SPI n'ont pas beaucoup évolué ces dernières années, et ce n'est pas bon. SPI semble être vu par beaucoup de développeurs Debian comme une boîte noire, ou comme le problème de quelqu'un d'autre. La vérité est que SPI est une organisation complètement gérée bénévolement exactement comme Debian. SPI, cependant, dispose de bien moins d'effectif. J'aimerais que les développeurs Debian soient bien plus impliqués dans SPI, qu'ils exercent leurs droits de membres contributeurs, et que SPI soit ravivée pour répondre aux nobles buts qui l'ont créée. Nous pouvons toujours utiliser des yeux et des mains supplémentaires à SPI si elles sont disponibles. Je suis certain d'être plus au courant que n'importe quel autre candidat cette année. :)
Anthony Towns :
SPI a été fondée en tant qu'accompagnatrice légale de Debian, avec des projets connexes comme OpenHardware. Ces dernières années, elle a rencontré un grand nombre de problèmes qui semblent désormais résolus. Actuellement SPI détient les droits d'auteur et les marques au nom du projet Debian ainsi que beaucoup d'argent, et elle continue a faire la même chose pour Debian. D'autres organisations font de même hors des États-Unis. Je pense continuer sur cette tendance – c'est-à-dire l'idéal de diversité tout en augmentant l'efficacité.
Matthew Garrett :
Dans un monde idéal, Debian porterait plus d'intérêt à SPI. Cependant, ce n'est clairement pas le souhait des développeurs, et je ne vois pas de raison particulière de les y motiver – ce que SPI fait pour Debian n'est pas si intéressant que cela. Quoi qu'il en soit, il est important de s'assurer que SPI continue à prendre soin de nos finances, et s'il apparaît clairement qu'il y a des problèmes sur ce point à l'avenir alors nous devrons agir. Une des choses que je souhaiterais voir améliorée est la gestion de notre marque par SPI – nous avons reçu des avis juridiques contradictoires de SPI, et nous n'avons pas agit contre les violations possibles. Ce n'est pas bon pour le projet.
Andreas Schuldei :
SPI est en train de revoir ses processus internes. Les événements actuels montrent que ces efforts commencent à prendre effet. En tant que responsable du projet Debian j'essayerai d'accompagner ce processus et de m'y impliquer. Branden, qui fait partie de l'équipe des responsable du projet Debian, est bien sûr déjà profondément impliqué et pourrait m'y aider.
Angus Lees :
Il existe plusieurs problèmes avec SPI. Certains des problèmes de SPI résultent de la nature bénévole de l'organisation – je ne vois pas en quoi ce serait différent de Debian ici. Son statut 501c3 n'a cependant de sens que pour les donateurs américains, et je pense que SPI n'ai pas si utile que cela à Debian pour cette raison. Je verrais plutôt une formalisation accrue des arrangements existants de suivi des avoirs avec des entités à but non lucratif dans de nombreux pays. SPI ne serait que l'une d'elles et Debian les chapeauterait toutes. Dit autrement, je vois l'existence de SPI comme une raison purement financière – Je ne suis pas à l'aise avec les quelques projets des gens qui souhaitent voir SPI se transformer en une force politique. Si cela arrivait, nous devrions trouver un nouveau compte bancaire.

Groupes sous-représentés dans Debian

Helen :
Le temps imparti pour la cinquième question est de 4 minutes :

Alors que dans le monde entier, les contributeurs à Debian tendent à venir d'un milieu assez homogène, un certain nombre de groupes sont de toute évidence sous-représentés à l'intérieur du projet. Par exemple, il y a très peu de développeurs indiens, féminins ou âgés. Quels défis et quels bénéfices voyez-vous pour Debian à encourager une plus grande participation de ces groupes sous-représentés ? Quelles stratégies considérez-vous réalisables pour que le projet affronte ses défis et maximise les bénéfices ?

Jonathan Walther :
Les gens s'organisent d'eux-mêmes en fonction de leurs intérêts et de leurs compétences. Debian est un projet qui s'organise de lui-même. Ceux qui sont intéressés par Debian font les meilleurs des développeurs. Si Debian fait quelque chose pour décourager l'un quelconque des groupes mentionnés (femmes, Indiens et personnes âgés) alors il faut arrêter cela immédiatement. Personne ne peut savoir que quelque chose ne va pas tant qu'on ne lui en a pas parlé. En tant que responsable du projet Debian, j'invite chacun a mettre à jour les problèmes qu'il rencontre afin qu'ils soient traités.
Anthony Towns :
À mon avis, les développeurs Debian ne sont pas si homogènes. Mais il est certain que certains groupes sont sous-représentés. Je pense que nous ne pouvons résoudre cela que pour les personnes qui souhaitent réellement nous rejoindre et en sont empêchées de quelque manière que ce soit ; et je ne connais pas de grands groupes d'Indiens ou de personnes âgées qui souhaitent plus contribuer à Debian mais ne s'en sentent pas capables. Je pense que les projets -wowen et de traduction sont de bons exemples à suivre et qui ont des besoins particuliers, et je pense que nous devrions nous attacher à rendre le projet meilleur dans son ensemble au fur et à mesure que nous apprenons ces besoins.
Angus Lees :
Je ne pense pas qu'il soit du ressort de Debian de rechercher des contributeurs appartenant à certains groupes – si des personnes de groupes sous-représentés souhaitent nous rejoindre, libre à elles. Par contre, Debian devrait s'assurer qu'il n'y a aucun obstacle qui affecte injustement certains groupes – s'il devait être identifié, nous devrions faire tout ce que nous pouvons pour le supprimer.
Branden Robinson :
Malheureusement, je ne suis pas sûr que Debian ait la capacité de faire grand chose de manière officielle. Je n'ai pas vu beaucoup de propositions à ce sujet. Il faut remarquer que certains groupes sont sous-représentés à cause de la « fracture numérique » – dans de nombreux pays, l'organisation socio-économique empêche Debian d'atteindre certaines personnes. Les chances de scolarité sont également faibles pour de nombreuses personnes dans le monde. En se concentrant sur le monde « développé », je pense qu'il s'agit principalement de créer un environnement moins menaçant. Je ne m'intéresse pas aux débats, mais nous pouvons tous nous souvenir que les préjugés et les stéréotypes contres certains groupes sont hors de propos. La bonne nouvelle est que je n'en ai principalement entendu parler que parce qu'on les a forcés à se montrer à l'intérieur de notre projet. Dans l'ensemble, Debian est un endroit vraiment tolérant. J'accueille avec bienveillance les idées de gens qui nous aideraient à continuer dans cette voie.
Andreas Schuldei :
Une fois encore, les petites équipes sont une réponse possible ici. Avec une traduction par équipe, même des gens d'autres groupes linguistiques pourraient contribuer par exemple (j'ai discuté avec des développeurs venant d'Inde à ce sujet et ils pensaient qu'il s'agissait plus d'un problème culturel avec les logiciels libres cependant). Debian-Women fait déjà un effort pour intégrer plus de femmes dans le projet et semble réaliser du bon travail. D'autres groupes sous-représentés pourraient suivre cet exemple.
Matthew Garrett :
Le projet Debian-women a beaucoup fait pour rendre Debian plus accessible aux femmes, et le nombre croissant de femmes dans la file d'attente des nouveaux responsables montre que cela commence à prendre effet. Je pense que nous avons besoin de faire en sorte que Debian soit plus accessible à d'autres groupes sous-représentés, et je pense que debian-women est un bon modèle de départ. Plus de retour d'un nombre plus important de groupes nous rend plus facile la production d'une distribution qui soit utile pour le plus grand nombre, et c'est bon pour la diffusion des logiciels libres.

Gestion des devoirs et de la vie du responsable du projet Debian

Helen :
Bien, la dernière question de la première partie, le temps imparti pour la sixième question est de 2 minutes :

Comment prévoyez-vous d'intégrer vos devoirs de responsable du projet Debian avec votre vie réelle et vos devoirs de développeurs Debian ? Dans cette hypothèse, comment réagiriez-vous à des critiques importantes sur le manque de temps que vous accorderiez à ce travail ?

Anthony Towns :
Je suis désolé, mais je n'ai pas suffisamment de temps pour répondre à cette question. :) Heu, je m'attends surtout à pouvoir me fier aux autres développeurs pour m'aider s'il y avait beaucoup à faire ; la plupart des projets sur lesquels j'ai travaillé dans Debian avaient des coresponsables, des équipes ou des personnes réalisant des mises à jour indépendantes, des correctifs ou des choses similaires, et j'espère, si je suis responsable du projet Debian, poursuivre avec la même philosophie.
Branden Robinson :
je crois avoir abordé ce sujet dans mon programme, et j'encourage les gens à le relire. Les devoirs de ma vie réelle sont déjà largement intégrés dans ma vie de développeur Debian car je travaille sur des « choses Debian » dans mon emploi (et ma carrière). Si des contraintes de temps me l'imposaient, j'espère pouvoir trouver de l'assistance des autres. Les délégations sont un bon choix. L'équipe du responsable du projet Debian dont je suis fier de faire partie n'est qu'une source de candidats délégués parmi d'autres. Par dessus tout, les comptes-rendus réguliers et la délégation de responsabilités sont les clefs pour éviter que les contraintes de temps ne deviennent gênantes.
Jonathan Walther :
La critique n'est pas un problème. Je suis habitué à la controverse. L'excellence technique est ce qui nous importe ici. Vous ne pouvez PAS arriver à l'excellence sans débat ni compétition. Pour ce qui est du temps, mon travail est très flexible. Ma disponibilité pour satisfaire aux besoins du projet est excellente, probablement la meilleure parmi les candidats.
Matthew Garrett :
S'il devait y avoir une inquiétude justifiée sur le manque de temps que je consacrerais au rôle de responsable du projet Debian, et si j'étais incapable de modifier cette situation, alors je démissionnerais. Cependant je ne crois pas que cela sera nécessaire. J'ai réduit mes autres obligations ces derniers mois, et la vie étudiante est assez bien adaptée pour pouvoir consacrer du temps à Debian... Foncièrement, le rôle de responsable du projet Debian de devrait pas être si grand consommateur de temps. Il s'agit principalement de s'assurer que les bonne personnes font le bon travail, pas de gestion très fine.
Angus Lees :
Je considère que voyager est un facteur très important pour le responsable du projet Debian. Avant ma candidature, j'avais étudié avec soin le temps dont je disposerais et je suis convaincu que je pourrai faire ce qu'il faut sans porter atteinte à mes devoirs (minimaux) Debian existants.
Andreas Schuldei :
Je pense avoir bien montré avoir préparé et planifié à l'avance pour éviter que cela n'arrive : je peux travailler sur les problèmes de Debian et de responsable du projet Debian pendant mes heures de travail et utiliser l'équipe du responsable du projet Debian en secours. Même avec des trolls et des critiques, ce qui peut blesser certaines personnes et les démotiver fortement, l'équipe peut apporter son aide en offrant un support moral.
Helen :
Ceci conclut la première moitié du débat. Merci à tous les candidats et aux personnes qui ont contribué par des commentaires intéressant sur le canal de discussion. Nous allons maintenant faire une pause de dix minutes pour permettre aux gens de prendre un café (en particulier ceux qui sont dans les fuseaux horaires UTC et voisins !).

Deuxième partie du débat – questions et discussions

[07:10:21] Andreas Schuldei
En raison d'un plantage d'irc pour lequel je suis coupable, j'ai réussi à ignorer tout et tout le monde sur \#debian-dpl-debate, y compris Helen lorsqu'elle répondait aux questions. J'ai corrigé cela au moment de la deuxième question. N'hésitez pas à me poser la première sur -vote.
[07:10:38] Martin Krafft
Tu peux également répondre maintenant, si tu veux.
[07:10:58] Andreas Schuldei
Qu'est-ce qu'était la question, encore ?
[07:11:16] Martin Krafft
http://rafb.net/paste/results/MuNRQi49.txt
[07:11:25] Martin Krafft
5 minutes. Gère ton temps convenablement.
[07:14:41] Branden Robinson
Andreas Schuldei : Ce n'est pas de ta faute. Quelqu'un a envoyé un mauvais conseil sur #-discuss. Lorsque je l'ai suivi, irssi m'a dit que j'étais en train de TOUT ignorer de #debian-dpl-debate.
[07:15:00] Branden Robinson
J'ai donc retiré toutes les choses ignorées, en me laissant innonder par les accès et les départs du canal :)
[07:15:02] Andreas Schuldei
Oui, je m'en suis rendu compte trop tard.
[07:15:30] Martin Krafft
/ignore * PARTS JOINS QUITS a fonctionné convenablement pour moi avec irssi.
[07:16:04] Branden Robinson
J'ai peur que ce que j'ai fait exactement ait été depuis longtemps purgé de mon historique des commandes irssi.
[07:16:20] Branden Robinson
Ce n'est de toute façon pas vraiment avisé pour le moment de commencer à blamer les gens en les pointant du doigt, de toute façon :-)
[07:16:29] Martin Krafft
Silence maintenant.
[07:16:38] Martin Krafft
Voici la réponse d'Andreas Schuldei à la première question.
[07:17:11] Martin Krafft
[Andreas Schuldei] Le travail du chef de projet est de trouver les bonnes personnes pour gérer la publication. Je pense que l'équipe actuelle est parfaitement qualifiée et travaille depuis déjà longtemps sur les questions actuelles. Mon travail en tant que chef de projet serait d'essayer de les aider à résoudre les problèmes qui ne rentrent pas dans leur champ d'action. Cela serait leur travail de trouver la meilleure stratégie de publication.
[07:17:21] Martin Krafft
OK, la pause est finie.
[07:17:31] Martin Krafft
Est-ce que les candidats peuvent faire signe pour confirmer qu'ils écoutent ?
[07:17:50] Andreas Schuldei
Oui.
[07:17:51] Branden Robinson est présent et prêt.
[07:18:00] Matthew Garrett
Ouep.
[07:18:07] Anthony Towns
Yo.
[07:18:10] Angus Lees fait signe.
[07:18:36] Martin Krafft
Angus Lees : ?
[07:19:01] Jonathan Walther
Pong.
[07:19:08] Martin Krafft
Angus Lees, Branden Robinson : Ping ?
[07:19:16] Helen
Martin Krafft : Ils sont là.
[07:19:22] Anthony Towns
Martin Krafft : Ils ont utilisé /me.
[07:19:34] Angus Lees en appel à la chance.
[07:20:08] Martin Krafft
OK, que la deuxième partie commence.
[07:20:27] Martin Krafft
Il s'agit d'un débat ouvert, donc je vous demande de suivre toutes les règles en vigueurs, etc.
[07:20:36] Martin Krafft
Les gens peuvent observer comment vous gérez un tel débat.
[07:20:48] Martin Krafft
Au monde : Si vous avez des questions à creuser, veuillez les envoyer à la liste de diffusion.
[07:20:57] Martin Krafft
Voici la première question.
[07:21:06] Martin Krafft
Est-ce que l'infrastructure disponible actuellement est suffisante pour aujourd'hui et pour plus tard ? Si ce n'est pas le cas, dans quels domaines des progrès sont-ils le plus nécessaires ?
[07:21:07] Andreas Schuldei
Devons-nous répondre aux questions également ?
[07:21:15] Martin Krafft
Oui.
[07:21:17] Branden Robinson
Andreas Schuldei : Je crois que c'est le principe :)
[07:21:38] Jonathan Walther
L'infrastructure sera trouvée lorsqu'elle sera nécessaire.
[07:21:43] Martin Krafft
« La liste de diffusion » est debian-vote@lists.debian.org.
[07:21:46] Matthew Garrett
De quelle sorte d'infrastructure parlons-nous ? Sociale ou technique ?
[07:21:49] Branden Robinson n'est pas trop inquiet pour l'infrastructure matérielle, même s'il semble y avoir des problèmes avec l'espace pour les miroirs et la bande passante...
[07:21:50] Jonathan Walther
Notre croissance sera linéaire jusqu'à ce que notre infrastructure croisse.
[07:21:55] Anthony Towns
Et logicielle ou matérielle ?
[07:21:57] Helen
Matthew Garrett : L'un ou l'autre, ou les deux.
[07:21:58] Angus Lees
Cette question est trop ouverte pour être traitée correctement...
[07:22:00] Martin Krafft
Matthew Garrett : Je pense que les deux sont correctes.
[07:22:16] Andreas Schuldei
En étant un projet technique plein de geeks, nous avons bien réussi à résoudre ces problèmes jusqu'à maintenant. (c:
[07:22:17] Martin Krafft
OK, parlons de l'infrastructure pour la communication.
[07:22:19] Anthony Towns
Un meilleur BTS, un meilleur logiciel d'archivage, etc. etc. sont de toute façon toujours nécessaires.
[07:22:25] Branden Robinson
D'un point de vue personnel, je pense que nous pouvons vraiment nous arrêter un moment pour examiner en profondeur les équipes que nous avons, et demander aux membres actuels comment nous pouvons compléter les rangs de manière constructive, si cela est nécessaire et comme cela est nécessaire.
[07:22:43] Anthony Towns
Globalement, c'est plus du travail que le DPL peut faciliter pour différents délégués que quelque chose que le DPL doit diriger.
[07:22:46] Martin Krafft
Branden Robinson : Qu'est-ce que cela impliquerait ?
[07:22:51] Branden Robinson
L'une des premières choses que je voudrais faire en tant que DPL est de lancer une enquête sur l'infrastructure existante, avec exactement ce qui suit en tête : est-ce que les gens sentent qu'ils sont débordés / qu'ils n'ont pas assez à faire ?
[07:23:08] Matthew Garrett
Socialement parlant, je m'inquiète à la fois du nombre de comportements agressifs sur les listes de diffusion et du manque de communication des différentes parties du projet. Je suis parfois coupable moi-même du premier point - j'essaie de m'améliorer dans ce domaine. Pour ce qui concerne le second, je pense que mon programme montre clairement ce que je pense :)
[07:23:12] Andreas Schuldei
Branden Robinson : Je suis d'accord. Ici nous passons du technique au social.
[07:23:14] Branden Robinson
Si c'est le cas, quel type de choses aiderait ? Est-ce que du code doit être écrit ? Est-ce que des machines plus rapides sont nécessaires ? Qu'en est-il de l'ajout de nouveaux membres ?
[07:23:32] Jonathan Walther
Notre infrastructure technique dans Debian est l'une des meilleures dans le monde de Linux. C'est pour cela que nos problèmes personnels sont visibles par le monde entier. Nous ne pouvons plus rejeter la faute sur la technologie ; nous ne pouvons que travailler pour nous améliorer. Qui ici est prêt à relever le défi ?
[07:23:41] Branden Robinson
Je prévoa qu'une grande partie de mes premiers rapports mensuels de chef de projet seront sur « l'état des lieux du projet » concernant ces aspects de l'infrastructure.
[07:23:48] Branden Robinson
s/prévoa/prévois/
[07:23:51] Martin Krafft
Branden Robinson : Intéressant.
[07:24:10] Martin Krafft
Voyons... en marchant sur la tangente, que pensez-vous que sont les plus gros problèmes de communication dans Debian à l'heure actuelle ?
[07:24:11] Anthony Towns
Donc, avec une infrastructure fonctionnelle, ma réponse est principalement : « les listes de diffusion qui ne sont pas pleines de discussions sans fin, à chaque fois que vous proposez quelque chose de difficile » reste la chose la plus utile pour nous faciliter la vie.
[07:24:11] Andreas Schuldei
Je pense que Debian doit changer sa façon de fonctionner pour pouvoir mieux *écouter*. (c:
[07:24:22] Anthony Towns
Il est évident que j'ai essayé d'aborder cela dans mon programme.
[07:24:22] Martin Krafft
Anthony Towns : Je vais y revenir dans une seconde.
[07:24:25] Branden Robinson
Sur ce point, je pense que Matthew Garrett nous a rendu un grand service en décrivant l'état actuel des choses, en se basant sur les recherches qu'il a menées personnellement.
[07:24:28] Jonathan Walther
Si nous avons besoin de plus de bande passante ou de plus d'espace disque, nous pourrons toujours les trouver. Notre système de suivi des bogues et nos listes de diffusions sont les meilleurs que vous puissiez trouver.
[07:24:44] Branden Robinson
En ce qui concerne un aspect de l'infrastructure.
[07:24:47] Martin Krafft
Jonathan Walther : Combien de système de suivi des bogues tu connais ?
[07:24:56] Matthew Garrett
Le plus grand problème de communication ? J'irais même jusqu'à parler d'un manque de communication.
[07:25:07] Martin Krafft
Matthew Garrett : Et qu'en seraient les raisons ?
[07:25:10] Jonathan Walther
Martin Krafft : Bugzilla. J'utilise quelques propriétaires au travail. J'ai utilisé le truc sendpr de BSD.
[07:25:16] Branden Robinson
Ce que nous devons faire est de répéter cela pour tous les domaines tradionnellement source de problèmes. La meilleure chose pour faire taire les râleurs sont les faits, soutenus et calmement annoncés.
[07:25:20] Helen
Angus Lees : Que penses-tu des problèmes de communication de Debian ?
[07:25:37] Jonathan Walther
Le plus gros problème de communication dans Debian sont les personnes susceptibles.
[07:25:39] Branden Robinson
Sommes-nous complètement libre ici ?
[07:25:42] Jonathan Walther
Tout le monde aime un bon débat disputé.
[07:25:45] Matthew Garrett
Jusqu'à un certain niveau, je pense que c'est possible car le projet à changé de taille jusqu'à un niveau énorme.
[07:25:45] Branden Robinson
C'est-à-dire, y aura-t-il une « deuxième question » ?
[07:25:48] Martin Krafft
Branden Robinson : Sans limites. :)
[07:25:56] Angus Lees
Helen : Je ne pense pas qu'il y ait quelque chose de nouveau à ajouter.
[07:25:58] Branden Robinson
Jonathan Walther : Ne me cite pas sans référence, s'il te plaît ;-)
[07:25:59] Matthew Garrett
(Heu ! veuillez ignorer le fait que j'ai utilisé deux fois le mot niveau.)
[07:26:00] Martin Krafft
Branden Robinson : En quelques sortes... :)
[07:26:07] Branden Robinson
Martin Krafft : OK.
[07:26:18] Jonathan Walther
Mais lorsque les gens susceptibles s'impliquent, cela glace les relations, démotive et gaspille toute l'énergie dépensée pour faire de bons logiciels.
[07:26:22] Angus Lees
Il est clair que tout le monde semble avoir reconnu le même ensemble de problèmes et a suggéré des solutions similaires.
[07:26:31] Jonathan Walther
Les gens ont besoin de prendre l'air, c'est un fait.
[07:26:33] Helen
Angus Lees : Ça semble assez vrai.
[07:26:42] Martin Krafft
Combinons la communication et l'infrastructure... Jonathan Walther veut de la VoIP, mais quelles autres améliorations pourraient aider notre communication ?
[07:26:45] Andreas Schuldei
Jonathan Walther : Donc nous faisons de la discrimination envers les personnes avec une peau fine ?
[07:26:48] Matthew Garrett
Je voudrais voir des équipes expliquer ce qu'elles font et *pourquoi*, et ce plus régulièrement, et le nombre croissant d'envois venant d'équipes sur devel-announce est très encourageant.
[07:26:56] Jonathan Walther
Martin Krafft : Hein ? VoIP ? Je déteste la VoIP !
[07:26:57] Anthony Towns
En réponse au point de Jonathan, je ne pense pas que nous puissions transformer quelqu'un qui est susceptible : je pense que la question réelle à se poser est la qualité de votre contribution potentielle au projet.
[07:26:57] Angus Lees
Martin Krafft : s/Jonothan Walther/Moi/
[07:27:02] Martin Krafft
Argh !
[07:27:03] Martin Krafft
Désolé.
[07:27:08] Branden Robinson pense qu'il y a une médiane à trouver entre le scénario baston-bagarre extrême-mise à mort et le scénario tout le monde est gentil-les oiseaux chantent-le soleil brille. Je sais que j'ai dû faire face à des pressions sociales pour changer mon approche sur les listes au cours des années, et c'est comme cela que ça doit se passer.
[07:27:28] Martin Krafft
Quelle est la différence entre les listes qui ont des discussions sans fin et celles qui n'en ont pas ?
[07:27:36] Angus Lees
Martin Krafft : La taille de l'audience.
[07:27:36] Branden Robinson
Le « si vous ne pouvez rien dire d'agréable, ne dites rien du tout » peut entrer en conflit avec le « nous ne cacherons pas les problèmes ».
[07:27:36] Jonathan Walther
Branden Robinson : Tu es l'un de ceux qui se plaignent des gens susceptibles ; tu m'avais sur ta liste des ignorés pendant longtemps. ^_^
[07:27:47] Branden Robinson
Jonathan Walther : Ce n'est plus vrai :)
[07:27:57] Matthew Garrett
Je suis d'accord avec Branden et Anthony sur ce point. Les listes mériteraient un peu de nettoyage, et je pense que plus de pression sociale serait un bon début.
[07:27:59] Andreas Schuldei
Je pense que c'est principalement le mélange entre les individus et la taille.
[07:28:03] Jonathan Walther
Branden Robinson : Ah ! Tu m'as bien fait marcher en faisant semblant de m'ignorer ;)
[07:28:19] Jonathan Walther
Branden Robinson : Ce qui demande une quantité incroyable de contrôle de soi. Je t'applaudis.
[07:28:22] Branden Robinson
Jonathan Walther : Il arrive que je me taise si quelqu'un me provoque si maladroitement que cela pourrait juste m'embarasser de parler :)
[07:28:24] Martin Krafft
De quel type de pressions sociales parle-t-on ?
[07:28:31] Matthew Garrett
La plus grande différence entre les listes avec discussions sans fin et celles sans est probablement due à la façon dont ces listes sont utilisées.
[07:28:38] Angus Lees
Jonathan Walther : Je suis coupable de la suppression de tes envois sur -private en ne me basant que sur l'émetteur.
[07:28:39] Anthony Towns
Martin Krafft : Habituellement, c'est une mauvaise habitude de ne pas avoir de discussions enragées — il faut au moins deux personnes pour en créer, et si les personnes ont l'habitude de tout geler, rien ne commence. Debian n'a pas vraiment cette habitude à beaucoup d'endroits.
[07:29:02] Branden Robinson
Martin Krafft : Des réponses calmes à des messages non raisonnables montrent comment une personne peut répondre plus constructivement.
[07:29:12] Branden Robinson
Martin Krafft : C'est une forme d'art. Certaines personnes sont excellentes, d'autres ne le sont pas.
[07:29:13] Andreas Schuldei
Martin Krafft : Est-ce que c'est le type de débat que tu envisageais ? Cela semble assez chaotique.
[07:29:14] Martin Krafft
Anthony Towns : Tu veux « forcer »... Ne vois-tu pas d'autre façon que la modération ?
[07:29:28] Matthew Garrett
Les listes qui se concentrent entièrement sur une tâche spécifique (ou un petit sous-ensemble de tâches) ont tendance à ne pas avoir de discussions sans fin. Les gens sont sur ces listes car ils font vraiment quelque chose, donc ils ont moins la tentation de discuter pour rien.
[07:29:32] Jonathan Walther
Anthony Towns : Au contraire, quelqu'un susceptible doit programmer tout seul.
[07:29:33] Angus Lees
Les discussions de ce type ne sont des problèmes que là où il y a de l'audience, à savoir : -private, -devel, -project, -legal.
[07:29:44] Martin Krafft
Andreas Schuldei : Tu peux suggérer un autre format. Ce n'est pas facile de débattre avec 7 personnes sur IRC.
[07:29:44] Angus Lees
Les listes plus petites et plus spécifiques ne semblent pas avoir de problème.
[07:29:45] Branden Robinson
Aie ! Je viens de me faire déchirer sur -discuss.
[07:29:46] Jonathan Walther
Anthony Towns : Les gens susceptibles sont un obstacle à n'importe quel type de travail en équipe. Debian est un travail en équipe massive.
[07:29:50] Anthony Towns
Je veux résoudre le problème ; et je pense que celui-ci est assez grave pour nécessiter une sorte de restrictions, et pas seulement une charte et quelques rappels polis. J'aimerais avoir tort.
[07:29:52] Andreas Schuldei
Oui.
[07:30:14] Jonathan Walther
Anthony Towns : Nous ne pouvons pas gérer les gens susceptibles en jetant des clés à molette dans le tas. C'est une des raisons pour lesquelles Debian a stagné ; trop de gens susceptibles mélangés à des mauvais coucheurs.
[07:30:22] Branden Robinson suit l'observation d'Andreas Schuldei affirmant que c'est un peu chaotique.
[07:30:31] Martin Krafft
Des suggestions ?
[07:30:42] Matthew Garrett
Jonathan Walther : Quel niveau de critique croyez-vous que les gens devraient avoir à supporter ?
[07:30:46] Martin Krafft
Je peux également poser des questions et permettre une à 3 phrases pour y répondre. :)
[07:30:52] Anthony Towns
La modération — c'est-à-dire que chaque envoi devra être approuvé par un groupe de modérateurs — est vraiment extrême ; retarder les envois (comme cela a déjà été fait à certains moments), refuser les réponses à des discussions litigieuses, envoyer un courriel de résumé pour les inscrits qui ont été incités à être non coopérants, ou suspendre ou bannir les gens sont différentes options possibles.
[07:31:04] Andreas Schuldei
Jonathan Walther : Les gens qui sont susceptibles sont ceux qui prennent trop à cœur les insultes qu'ils reçoivent. À mon avis, il ne devrait tout d'abord pas y avoir d'insultes. C'est possible. Nous devrions essayer.
[07:31:06] Branden Robinson
Martin Krafft : Je suis connu pour mes capacités à faire de très longues phrases — cela pourrait me donner un avantage peu loyal. ;-)
[07:31:12] Jonathan Walther
Matthew Garrett : Je pense que menacer la sécurité personnelle de quelqu'un est en dehors des limites.
[07:31:16] Angus Lees
Je voudrais voir un standard mieux connu définissant quelles sortes de messages auraient été mieux s'ils n'avaient pas été envoyés.
[07:31:37] Anthony Towns
Jonathan Walther : Oui, je pense qu'il y a un compromis à atteindre entre traiter les gens avec respect et ne pas prendre l'habitude de tout fuir en étant bien trop strict.
[07:31:39] Angus Lees
Et nous pouvons prendre l'avis des gens pour cela. Les contrevenants réguliers (et la plupart des problèmes dont ils sont responsables) peuvent être modérés, ou quelque chose du genre.
[07:31:39] Matthew Garrett
Jonathan Walther : Donc toutes les critiques jusqu'à cette limite devraient être acceptées ? Je ne suis pas du tout d'accord.
[07:31:41] Branden Robinson
Je pense que j'ai exprimé ma position sur les tactiques de modération sévère sur -vote.
[07:31:45] Helen
Branden Robinson : Je pense qu'il n'y a pas de problème, ce n'est pas aussi complexe ou confus en comparaison à d'autres discussions IRC que j'ai déjà vues. Les gens feront de toute façon le tri plus tard.
[07:31:51] Martin Krafft
Il a été soulevé le fait que Debian encourage les discussions enflammées en faisant l'éloge de ses posteurs.
[07:31:51] Andreas Schuldei
AMHA ce débat prouve principalement que nous avons beaucoup de candidats qui parlent. (c:
[07:32:05] Martin Krafft
J'ai également vu des personnes faisant l'éloge de posteurs calmes.
[07:32:05] Jonathan Walther
Andreas Schuldei : Une personne susceptible trouvera toujours le moyen d'interpréter une critique ou de l'humour comme une insulte.
[07:32:09] Branden Robinson
Je ne crois pas que nous devrions les démettre de leurs responsabilités sans avoir une procédure bien documentée pour les appels, ainsi que la confiance des développeurs.
[07:32:11] Martin Krafft
Pensez-vous que plus de cela aiderait ?
[07:32:18] Branden Robinson
Une blague est une arme puissante.
[07:32:22] Jonathan Walther
Andreas Schuldei : Il n'y a donc pas moyen d'éliminer les « insultes ».
[07:32:27] Martin Krafft
Pensez-vous qu'un passage au goudron et aux plumes en public pourrait réduire les discussions enflammées ?
[07:32:40] Jonathan Walther
Martin Krafft : Absolument pas.
[07:32:42] Andreas Schuldei
Jonathan Walther : Faux, je suis sur des canaux et des listes avec des personnes sensibles, et elles travaillent correctement.
[07:32:44] Angus Lees
Martin Krafft : Un passage au goudron et aux plumes en public lance les discussions enflammées.
[07:32:47] Jonathan Walther
Martin Krafft : Les gens doivent être assez mûrs pour utiliser /ignore
[07:32:58] Branden Robinson
Martin Krafft : Certaines personnes sont susceptibles de se voir adresser des reproches, d'autres visiblement pas.
[07:33:01] Anthony Towns
Branden Robinson : Un envoi sur -devel-announce est également une arme plutôt puissante :-P
[07:33:03] Martin Krafft
Angus Lees : Exactement.
[07:33:04] Matthew Garrett
Martin Krafft : Si cela est fait par quelqu'un avec suffisamment d'autorité ? Je pense, mais cela dépend par ce que tu entends pour le « goudron » et les « plumes ».
[07:33:10] Branden Robinson
Anthony Towns : C'est vrai.
[07:33:10] Andreas Schuldei
Jonathan Walther : Ici, nous n'avons quasiment pas d'insultes.
[07:33:12] Jonathan Walther
Andreas Schuldei : Vraiment ? De quels listes et canaux s'agit-il ?
[07:33:22] Andreas Schuldei
#debian-devel, pour l'un.
[07:33:23] Martin Krafft
Matthew Garrett : Prenez la discussion enflammée entre aj et moi en février.
[07:33:27] Anthony Towns
Martin Krafft : Le passage au goudron et aux plumes en public est une discussion enflammée. Je ne pense pas que les rendre officiels réduira le nombre de non officiels ; je pense même le contraire.
[07:33:34] Andreas Schuldei
Heu.
[07:33:38] Martin Krafft
Si vous étiez intervenu en nous disant à tous les deux d'aller jouer au bac à sable, pensez-vous que cela aurait aidé ?
[07:33:40] Andreas Schuldei
debian-edu, pardon.
[07:33:44] Jonathan Walther
Andreas Schuldei : Ah. OK... le canal sur lequel doogie parle du rasage de ses poils pubiens en public ?
[07:33:47] Angus Lees
Les messages de type « ce message était inapproprié sur cette liste » devraient être faits en privé ; sinon, ils ne font que continuer la discussion qu'ils arrêtent.
[07:33:58] Jonathan Walther rigole
[07:34:01] Branden Robinson
Les pressions sociales peuvent également devenir hors de contrôle. Je ne pense pas que nous voulions nécessairement tout éviter, ou avoir tout écarlate.
[07:34:01] Andreas Schuldei
Jonathan Walther : Désolé, lapsus freudien. (c:
[07:34:16] Branden Robinson
Cela conduit à une société moins tolérante, et pas à une société plus tolérante.
[07:34:18] Matthew Garrett
Je pense qu'il est important de faire comprendre en public que certains comportements sont inacceptables, mais je pense qu'il faudrait mieux le faire calmement et raisonnablement.
[07:34:26] Angus Lees
Je ne pense pas que seules les pressions sociales puissent faire sortir Debian du trou dans lequel nous sommes.
[07:34:31] Martin Krafft
Anthony Towns : Je pense que la communauté pourrait mal comprendre ton désir de « renforcer »... comment compte-tu renforcer sans trop de pressions sociales ?
[07:34:36] Matthew Garrett
(Je sais que je suis coupable d'erreurs sur ce point, et je l'ai déjà reconnu auprès des personnes qui me l'ont fait remarquer.)
[07:34:38] Martin Krafft
Angus Lees : Quoi d'autre pourrions-nous faire ?
[07:34:59] Jonathan Walther
Lorsque les gens démarrent un combat stupide, ils doivent sentir sur eux une pression leur faisant comprendre qu'ils sont en train de dépasser les limites. La dernière chose à faire est de rassembler encore plus d'attaquants (comme ils le perçoivent).
[07:35:00] Angus Lees
Martin Krafft : Nous devons publier une liste exhaustive et compréhensive de ce que nous considérons approprié (pour chaque liste).
[07:35:17] Branden Robinson
Matthew Garrett : Sous-entendre que les personnes inscrites à -legal (ou au moins le sous-ensemble composé des personnes qui écrivent) ne valent en général pas grand chose n'est quand même pas très sympathique.
[07:35:24] Andreas Schuldei
Angus Lees : Je pense que les pressions sociales sont un début. Nous devrions accroître rapidement nos mesures de discipline.
[07:35:25] Jonathan Walther
Angus Lees : Balivernes. Tout le monde ici est adulte et est supposé comprendre ce que cela signifie.
[07:35:26] Angus Lees
Martin Krafft : Nous devons alors avoir en place des procédures connues pour gérer les contrevenants réguliers.
[07:35:35] Martin Krafft
Angus Lees : Nous n'en avons pas encore ? ou alors il en faudrait d'encore plus concrètes ?
[07:35:48] Anthony Towns
Martin Krafft : La plupart des possibilités abordées ci-dessus ne sont que des options techniques : si les choses deviennent hors de contrôle, les envois s'achèvent tout simplement. Cela peut calmer les choses, ce qui, je pense, est utile. Le truc réel n'est pas les pressions sociales, c'est... je ne sais pas, le renforcement social — avoir un environnement dans lequel les personnes n'ont pas peur de poster car elles savent que leurs idées seront traitées dignement, et n'ont pas besoin de s'enflammer, car elles sont conscientes qu'elles seront
[07:36:00] Matthew Garrett
Branden Robinson : Je ne suis pas d'accord avec les opinions exprimées, et mon expérience suggère que la notion de consensus sur d-l n'est pas la même que celle des autres développeurs.
[07:36:05] Branden Robinson
Comme SPI, -legal fait — ou essaie de faire — du travail solide, parfois non récompensé, que tout le monde ne daigne pas reconnaître.
[07:36:18] Martin Krafft
Anthony Towns : Et établir la ligne mince entre ceci et la censure ? comment ?
[07:36:29] Angus Lees
Martin Krafft : Publiée plus largement. Par exemple, je ne pense pas avoir été dans le faux avec une telle position (même si je sais que nous l'avons quelque part).
[07:36:44] Anthony Towns
Martin Krafft : Prudemment. :)
[07:36:44] Martin Krafft
Angus Lees : Il y a un lien sur lists.debian.org.
[07:36:46] Matthew Garrett
Je ne pense pas que le point de vue des personnes doit être ignoré juste parce qu'elles ne désirent pas s'exprimer dans un forum où elles ne se sentent pas les bienvenues.
[07:36:47] Branden Robinson
Matthew Garrett : Je pense que beaucoup du problème est un manque de réalisme. J'ai médité sur une « FAQ surprise » qui présenterait tous les aspects qui vont contre les intuitions des lois sur les droits d'auteur et les brevets, et ce à l'attention des non initiés.
[07:37:06] Angus Lees
Par définition, les posteurs qui posent problèmes sont des contrevenants fréquents.
[07:37:12] Andreas Schuldei
Une option intéressante qui a été suggérée par nos nouveaux DAM est de demander à ceux qui passent un mauvais moment de se restreindre eux-mêmes et de se débrancher pour une remise en cause.
[07:37:18] Branden Robinson
Matthew Garrett : Dans beaucoup de cas, les gens perçoivent -legal comme « irraisonnable » simplement parce que ces personnes ont cherché l'application de la loi dans le monde réel.
[07:37:21] Anthony Towns
Martin Krafft : En ayant des vérifications et des analyses du dérapage des discussions ou des personnes, en ayant différents endroits où les gens peuvent discuter ou s'enflammer ou quoi que ce soit d'autre et enfin avoir une porte de sortie est également bon.
[07:37:22] Jonathan Walther
Matthew Garrett : C'est une position intéressante, en sachant que tu m'as banni de la liste de diffusion debian-women@ en te basant sur le fait que quelques femmes n'aimaient pas mes convictions.
[07:37:36] Branden Robinson
Matthew Garrett : Et la loi, comme dirait l'autre, « est stupide ».
[07:37:48] Jonathan Walther
Matthew Garrett : Comment justifies-tu la censure réelle d'un développeur Debian d'une liste de diffusion et ton affirmation précédente sur ton rejet de la censure ?
[07:37:53] Anthony Towns
« conscientes qu'elles seront consultées. » si cela a été coupé plus haut, au passage.
[07:38:04] Matthew Garrett
Jonathan Walther : Je n'ai banni personne d'aucune liste de diffusion.
[07:38:11] Martin Krafft
Voici une question de la communauté : pensez-vous qu'il serait bon de placer certaines personnes dans une position quelconque au sein de Debian sans avoir le soutien des individus qui occupent déjà cette position, est-ce que cela devrait se produire ?
[07:38:12] Matthew Garrett
Je ne suis même pas inscrit à debian-women.
[07:38:25] Branden Robinson
Tant que nous travaillerons sous les perversités du concept de « propriété intellectuelle », je crains que les notions intuitives que les gens ont sur le logiciel libre seront loin de la réalité.
[07:38:45] Angus Lees
La modération n'est pas de la censure. (Il s'agit d'une simple maîtrise du trafic ;)
[07:39:00] Anthony Towns
Martin Krafft : Il ne s'agit pas de se poser la question si cela est approprié, mais si cela est efficace. Avoir deux personnes dans une équipe qui travaillent l'une contre l'autre, cela ne fonctionne pas. Mais il y a de nombreuses façons d'encourager les personnes à accepter de nouveaux membres dans les équipes.
[07:39:02] Branden Robinson
Angus Lees : Ça n'en est pas ? Même si un message est renvoyé au destinataire ou rejeté ?
[07:39:05] Martin Krafft
Angus Lees : Les gens ne sont pas d'accord avec cela.
[07:39:15] Helen
Pouvons-nous passer à la dernière question de Martin Krafft, s'il-vous-plaît ?
[07:39:20] Angus Lees
La livraison des messages raisonnables venant d'un « expéditeur à problèmes » est toujours permise, je n'y vois donc pas de problème.
[07:39:21] Matthew Garrett
Branden Robinson : Mais dans une plus vaste étendue, l'argument se résume à différentes positions sur la sévérité d'interprétation des DFSG, et non pas au désaccord sur comment s'applique la loi.
[07:39:43] Andreas Schuldei
Martin Krafft : Je pense que de telles choses nécessitent réflexion. Cela dépend de l'individu et du groupe, ainsi que de l'état de santé du groupe.
[07:39:52] Jonathan Walther
Matthew Garrett : Désolé ; je dois t'avoir confondu avec un autre Matthew. Peut-être Matthew Palmer. Quelqu'un qui a un accès administrateur aux listes de diffusion de Debian m'a dans tous les cas rejeté de debian-women@.
[07:40:02] Jonathan Walther
Matthew Garrett : Si tu étais DPL, que ferais-tu pour y remédier ?
[07:40:10] Helen
Branden Robinson, Angus Lees, Matthew Garrett, Jonathan Walther : Question suivante, s'il-vous-plaît :)
[07:40:13] Martin Krafft
Andreas Schuldei : Bien, que peut faire un DPL pour s'assurer que tous les groupes l'autorisent ?
[07:40:17] Andreas Schuldei
Est-ce que cette personne de la communauté pourrait élaborer un peu le contexte, pour pouvoir répondre plus précisément ?
[07:40:17] Branden Robinson
Matthew Garrett : Parfois c'est le cas. Mais j'ai vu que les gens sur -legal s'énervent et s'emportent...
[07:40:19] Helen
[07:38:11] Martin Krafft Voici une question de la communauté : pensez-vous qu'il serait bon de placer certaines personnes dans une position quelconque au sein de Debian sans avoir le soutien des individus qui occupent déjà cette position, est-ce que cela devrait se produire ?
[07:40:21] Branden Robinson
Helen : OK.
[07:40:42] Jonathan Walther
La désignation est toujours volontaire.
[07:40:46] Branden Robinson
Helen : Je vois cela comme une solution de dernier recours.
[07:40:54] Martin Krafft
Jonathan Walther : Lis womble sur -discuss.
[07:40:56] Branden Robinson
Jonathan Walther : Les modérateurs veulent dire imposer quelqu'un à une équipe.
[07:40:59] Matthew Garrett
Si c'est la seule façon d'être sûr que le travail sera fait convenablement pour le reste du projet, alors oui.
[07:41:02] Jonathan Walther
Tu peux être désigné. Et tu peux refuser la désignation. Il n'y a pas besoin de te consulter absolument auparavant.
[07:41:06] Angus Lees
Helen : Si le résultat est mauvais, bien sûr que non.
[07:41:14] Jonathan Walther
Martin Krafft : Je ne suis pas sur -discuss.
[07:41:18] Andreas Schuldei
Martin Krafft : « Ne change jamais une équipe qui gagne ». Si les groupes travaillent convenablement, alors il n'y a pas besoin de personne supplémentaire et ils ne veulent personne d'autre, et dans ce cas, le DPL devrait rester en dehors de cela. (c:
[07:41:24] Jonathan Walther
Martin Krafft : Je ne peux suivre que deux fenêtres IRC en même temps.
[07:41:36] Martin Krafft
Andreas Schuldei : Mais qu'en est-il si un groupe va soudainement mal ?
[07:41:37] Branden Robinson
Jonathan Walther : Le scénario est : A, B et C sont dans une équipe X. Le DPL veut ajouter D, et D veut la position, mais A, B et C ne veulent pas de D dans l'équipe.
[07:41:43] Martin Krafft
Jonathan Walther :
[07:41:44] Martin Krafft
[08:40 womble Puis-je avoir une rétractation de ce commentaire fait par krooger ? Je n'ai
[07:41:47] Martin Krafft
de droit d'administrateur sur aucune liste.
[07:41:55] Andreas Schuldei
Martin Krafft : La raison pour cela serait intéressante.
[07:42:03] Martin Krafft
Andreas Schuldei : La mort ?
[07:42:09] Andreas Schuldei
Martin Krafft : Si un nouveau membre peut y remédier, bien sûr.
[07:42:11] Branden Robinson
Comme je l'ai dit, je déteste voir les choses en arriver à ce point. Je ferais vraiment beaucoup de consultations aux alentours avant de prendre cette décision.
[07:42:15] Martin Krafft
(pour ne citer que le plus extrême)
[07:42:17] Matthew Garrett
Mais il est évident que cela créera du mécontentement et de la douleur, donc cela ne doit se produire que s'il n'y a pas d'autre solution.
[07:42:17] Jonathan Walther
Martin Krafft : Les gens sont libres de lire les envois de Matthew Palmer sur debian-women et de définir eux-mêmes les « pouvoirs » qu'il a.
[07:42:19] Andreas Schuldei
Martin Krafft : Est-ce que c'est le groupe qui meurt ou un membre ?
[07:42:25] Branden Robinson
Car bien sûr, il y a le risque de la démission de A, B et C.
[07:42:39] Martin Krafft
Andreas Schuldei : Disons que 50 % d'entre eux arrêtent de travailler pour le groupe.
[07:42:57] Matthew Garrett
Mais en aucun cas un ensemble de personnes, quelque soit sa position, ne devrait pouvoir devenir un obstacle sans raison.
[07:43:07] Andreas Schuldei
Martin Krafft : La situation souhaitée serait que le groupe remarque qu'un membre est décédé (c: et cherche alors un successeur.
[07:43:14] Angus Lees
Branden Robinson : Exactement. Donc A, B et C doivent déjà être complètement inopérationels pour que le DPL envisage d'intégrer par la force une nouvelle personne.
[07:43:22] Andreas Schuldei
Si le DPL est le seul au courant, il devrait leur dire et les aider à avancer.
[07:43:36] Matthew Garrett
Une solution basée sur le consensus est largement préférable, mais si cela est impossible, alors une nomination « hostile » est la seule option solide.
[07:43:37] Branden Robinson
Matthew Garrett : Il serait intéressant que trois équipes séparées aient le droit de véto sur l'ajout d'une architecture au groupe pour la publication de Etch, comme cela est proposé dans le prospectus de Vancouver.
[07:43:38] Jonathan Walther
Branden Robinson : Évidemment, le droit à la libre association (garantie dans la constitution canadienne) signifie que même si le DPL peut nommer quelqu'un dans une équipe, si celle-ci ne l'accepte pas, ce n'est pas de chance pour le DPL. La vraie question est si le DPL désire saboter une équipe entière pour avoir son délégué à cette position.
[07:43:54] Martin Krafft
OK, il suffit. Quelqu'un m'a dit de plus vous faire taire.
[07:43:58] Martin Krafft
Passons à autre chose...
[07:44:02] Martin Krafft
Il n'y a sûrement pas de risque de se tromper en disant que les résultats de la rencontre de Vancouver
[07:44:04] Martin Krafft
ont quelque peu agité la communauté. Qu'est-ce qui aurait pu être
[07:44:05] Branden Robinson
Les délégués sont au service du DPL.
[07:44:07] Martin Krafft
amélioré pour éviter ces troubles et ces pertes de
[07:44:09] Martin Krafft
productivité ?
[07:44:14] Matthew Garrett
Branden Robinson : Si un tel véto était levé sans justification, je poserais des questions.
[07:44:17] Branden Robinson
Martin Krafft : Belle transition avec ma remarque précédente :)
[07:44:38] Martin Krafft
Branden Robinson : C'est involontaire, mais agréable après coup. :)
[07:44:41] Jonathan Walther
Martin Krafft : Je ne vois aucune perte de productivité. La rencontre de Vancouver a été l'occasion pour les gestionnaires de publication d'avoir un peu de temps sans distraction.
[07:44:43] Angus Lees
Martin Krafft : Il semble que la rencontre a été arrangée dans la précipitation, et ce pour des raisons quelconques. Je pense qu'il n'y avait pas besoin de tant de hâte (les élections DPL ?).
[07:44:49] Jonathan Walther
Martin Krafft : Encore une fois, je soutiens totalement le droit à la libre association.
[07:44:54] Andreas Schuldei
Martin Krafft : Le groupe devrait maintenant essayer activement de trouver de nouveaux membres.
[07:45:00] Branden Robinson
Angus Lees : Cela peut simplement avoir été pour des raisons de disponibilité.
[07:45:01] Anthony Towns
Martin Krafft : Évidemment, j'aime l'idée d'arrêter les discussions enflammées lorsque cela commence à devenir agressif, non technique et répétitif. :-/
[07:45:15] Andreas Schuldei
Martin Krafft : Le DPL devrait leur dire de le faire, s'ils ne le font pas.
[07:45:15] Branden Robinson
Angus Lees : Rappelle-toi combien il a été difficile pour six d'entre nous d'arriver à temps pour un débat de deux heures que nous aurions pu faire par IRC.
[07:45:17] Angus Lees
Branden Robinson : C'est sûr que la disponibilité n'est plus une si grosse contrainte lorsqu'il n'y a plus d'objectifs temporels impliqués.
[07:45:20] Jonathan Walther
Martin Krafft : Si un groupe de développeurs Debian veut se rassembler pour un sujet concernant Debian, le reste de Debian ne peut pas s'y opposer. Mais cela serait plus difficile si un tel groupe ne rendait pas compte en public du sujet et des activités.
[07:45:26] Anthony Towns
Martin Krafft : D'un autre côté, avoir eu auparavant plus de débats en public aurait été utile ; mais sur la liste actuelle, le climat m'y semble tout simplement insupportable.
[07:45:31] Jonathan Walther
Martin Krafft : Ce serait même contre Debian.
[07:45:36] Matthew Garrett
Je pense que https://lists.debian.org/debian-vote/2005/03/msg00659.html serait un bon ensemble de points de départs.
[07:46:10] Martin Krafft
Avez-vous des commentaires sur la façon dont la proposition a été introduite ?
[07:46:20] Matthew Garrett
Plus d'opportunités pour récolter des opinions auraient amélioré les choses, même si ces opinions avait été ignorées. Plus de justifications détaillées après coup auraient changé considérablement le caractère de la discussion.
[07:46:26] Branden Robinson pense que le prospectus de Vancouver aurait pu être écrit de manière à ne pas mettre le feu au poudre si méchamment, mais je suspecte également que 1) sa rédaction a été attribuée à un pauvre volontaire (salut vorlon) qui a été contraint par le temps, et que 2) il était dans tous les cas destiné à lancer de nombreuses discussions, quel qu'en soit le contenu.
[07:46:38] Branden Robinson
Simplement en raison des conclusions atteintes.
[07:46:50] Angus Lees
Et il semble que la discussion a commencé par « nous devons réduire les architectures sur les miroirs à environ 4. Comment les choisissons-nous ? ». Ce qui n'a pas du tout été décrit de cette façon.
[07:47:03] Angus Lees
Lorsque cela est présenté de cette manière (et qu'il est expliqué pourquoi cela est nécessaire), tout semble plus raisonnable.
[07:47:05] Branden Robinson
J'espère rassembler petit à petit des documents qui satisfassent les objectifs que j'ai établis pour la page VancouverProspectus sur wiki.debian.net.
[07:47:10] Anthony Towns
Il faut savoir que le document a été relu et corrigé par tous ceux qui étaient présents, même si Steve (vorlon) en a écrit la majorité.
[07:47:27] Martin Krafft
Regardons le contenu...
[07:47:28] Andreas Schuldei
La proposition était vraiment une proposition. Les événements qui ont suivi et conduit à une discussion productive entre les personnes impliquées le montrent mieux.
[07:47:28] Martin Krafft
Debian est connue en tant que système d'exploitation universel. Elle souffre également de longs cycles de publication. Quel est l'objectif de Debian ? Est-ce que sacrifier le slogan « universel » garantirait des cycles de publication plus courts ? Qu'est-ce que nos utilisateurs désirent ?
[07:47:50] Jonathan Walther
Je pense que le consensus de Vancouver a été fait le plus gentiment possible et pour être le moins obstruant.
[07:47:58] Jonathan Walther
Je ne vois pas de raison pour Debian de se plaindre sur la manière dont se sont déroulés les événements.
[07:48:00] Branden Robinson
Bien, « universel » signifie beaucoup de choses différentes pour des personnes différentes.
[07:48:19] Angus Lees
Ah. Apparemment, vorlon a dit que des périodes plus longues seraient envisagées. Dans ce cas, c'est bien.
[07:48:21] Branden Robinson
Est-ce que le manque de « publication stable », chose arbitraire en elle-même, est obligatoirement en contradiction avec l'universalité ?
[07:48:33] Jonathan Walther
Martin Krafft : Debian est connue pour sa robustesse et ses mises à niveau faciles. Peu de nos utilisateurs s'intéressent à nos architectures marginales.
[07:48:34] Andreas Schuldei
Debian ne perdrait pas d'architecture, puisqu'elle pourrait à la place s'ouvrir à de nouvelles.
[07:48:40] Branden Robinson
Je pense qu'il s'agit d'une question à laquelle nous devons répondre collectivement. Le DPL n'a pas à s'imposer.
[07:48:47] Jonathan Walther
Martin Krafft : Il y a quelques années, nous étions également connus pour notre facilité d'installation.
[07:49:11] L'UltraSPARC de Branden Robinson, necrotic.deadbeast.net, est instable.
[07:49:14] Anthony Towns
Je ne pense pas que nous remettons en cause le slogan « universel » ; nous changeons juste notre façon de gérer certaines architectures. J'espère évidemment que cela ne vas pas empêcher de faire tourner Debian sur des architectures non-i386/ppc.
[07:49:20] Andreas Schuldei
Jonathan Walther : Nous sommes sur le bon chemin en ce qui concerne les installations faciles dans le futur (c:
[07:49:29] Branden Robinson
Si elle continue à fonctionner convenablement, même en tant qu'architecture « secondaire », je n'en serai pas personnellement trop affecté.
[07:49:36] Angus Lees
L'extensibilité de l'approche de Debian pour contruire une distribution est l'une de ses fonctionnalités les plus importantes (comme je l'ai dit dans une réponse à une question de la première phase).
[07:49:41] Martin Krafft
Est-ce que ces « citoyens secondaires » ne vont pas faire changer d'avis les gens ?
[07:50:04] Branden Robinson
J'espère également que ceux dans la communauté qui sont directement concernés (comprendre les entreprises) pourront investir dans ces « architectures secondaires », ce qui aidera à les remettre en première position.
[07:50:06] Matthew Garrett
Je ne pense pas que la longueur de notre cycle de publication actuel est supportable, et je pense que cela nous coûte une bonne part de bonne volonté venant de la communauté. Je ne veux pas perdre les publications stables de certaines architectures (je possède au moins sept de celles-ci dans la pièce où je me trouve actuellement), mais s'il s'agit de la seule possibilité de répondre à la demande de la majorité de nos utilisateurs, alors je pense que nous devrons l'accepter.
[07:50:22] Andreas Schuldei
La partie constructive de la discussion actuelle résoudra ce problème, j'en suis convaincu.
[07:50:22] Angus Lees
Je pense que les gens commencent à utiliser Debian car nous pouvons (et nous le faisons) gérer toute sorte de domaines différents.
[07:50:25] Anthony Towns
Je ne pense pas que Debian a un objectif bien particulier ; elle en a autant qu'il y a de développeurs, et probablement encore plus que cela. Je l'aime bien car je pense qu'elle démontre comment le développement logiciel devrait être fait.
[07:50:29] Branden Robinson
Il se peut que nous ayons une sorte de « tragédie des habitués » lorsque nous abordons des volontaires actifs et certaines architectures.
[07:50:47] Matthew Garrett
Mais avant de prendre cette décision, j'aimerais voir plus de discussions sur les problèmes qui seraient résolus. L'équipe en charge de la publication a clairement présenté sa manière de voir les problèmes, et cela a été très utile. J'aimerais voir quelque chose de semblable chez les responsables ftp.
[07:50:53] Andreas Schuldei
Debian a toujours parfaitement résolu ses problèmes techniques, et le fera également cette fois-ci.
[07:50:57] Branden Robinson
Matthew Garrett : Écoute, écoute.
[07:51:14] Matthew Garrett
Il est possible que nous puissions trouver une autre proposition qui résoudrait les problèmes sans avoir à réduire le nombre d'architectures.
[07:51:37] Matthew Garrett
Debian est une organisation pleine de ressources. Si nous ne pouvons pas résoudre le problème, alors il peut ne pas y avoir de solution. Et dans ce cas, nous aurons à faire un choix difficile.
[07:51:50] Jonathan Walther
Je n'ai pas utilisé la distribution « stable » depuis des années.
[07:51:55] Jonathan Walther
Combien de personnes utilisent « stable » actuellement ?
[07:51:57] Martin Krafft
Nous avons une autre question de la communauté :
[07:52:08] Angus Lees
Jonathan Walther : Je l'utilise tous les jours au travail pour les produits que je crée.
[07:52:08] Matthew Garrett
Comme je l'ai dit, même si je n'aime pas cela, supprimer la gestion de certaines architectures est mieux que de prendre 3 ans pour une publication.
[07:52:11] Martin Krafft
Comment pensez-vous que Debian fait honneur des contributions des non-développeurs qui font un travail réel pour le projet (par exemple les traducteurs) ?
[07:52:16] Branden Robinson
Andreas Schuldei : J'aime ta confiance, mais je ne voudrais pas endormir les gens dans leur propre complaisance. Nous ne résoudrons ce problème que si nous nous remuons et que nous y travaillons.
[07:52:26] Angus Lees
Croyez-moi, les utilisateurs en entreprise (ou en système embarqué, etc.) ne veulent pas de publications semestrielles.
[07:52:29] Branden Robinson
Martin Krafft : Insuffisamment.
[07:52:39] Jonathan Walther
Il est important de se rappeler que supprimer la gestion est très différent de supprimer l'architecture.
[07:52:45] Matthew Garrett
En ce qui me concerne, la meilleure récompense que j'ai reçue pour mes contributions a été de les voir utilisées.
[07:52:49] Martin Krafft
Branden Robinson : Et cela ne peut pas changer ?
[07:52:52] Jonathan Walther
Les développeurs des différentes architectures travaillent beaucoup, et sont fiers du résultat de leur travail.
[07:52:58] Branden Robinson
Martin Krafft : Quand je reçois des traductions debconf pour xfree86 par exemple, je cite systématiquement celui qui l'a soumise.
[07:53:03] Jonathan Walther
Même nos architectures « non gérées » profitent de la haute qualité de Debian.
[07:53:04] Branden Robinson
J'ai vu beaucoup d'autres personnes le faire...
[07:53:22] Branden Robinson
Mais en voyant les atouts d'une traduction, je ne suis pas sûr que les personnes qui les font sont récompensées comme elles devraient l'être.
[07:53:22] Jonathan Walther
Et lorsque nous aurons une catégorie non gérée, nous pourrons même y ajouter d'autres architectures.
[07:53:38] Matthew Garrett
Nous devons nous assurer que les contributions des non-développeurs sont intégrées plutôt que jetées, et nous devons clarifier auprès des gens comment ils peuvent s'impliquer en faisant cela.
[07:53:41] Martin Krafft
Jonathan Walther : Dans le monde réel, les gens font une grosse différence entre le label officiel et pas officiel à 100 %. Y vois-tu un problème ?
[07:53:41] Branden Robinson
Je me suis rendu compte l'année dernière de combien il était parfois difficile de traduire mon anglais, par exemple... :)
[07:53:43] Andreas Schuldei
Matthew Garrett : Je pense actuellement que les gens impliqués dans la résolution des problèmes (les porteurs, l'équipe en charge de la publication et les responsables ftp) sont parfaitement qualifiés pour trouver une bonne solution. Aies confiance en eux et donne-leur une chance de la trouver.
[07:54:00] Jonathan Walther
Angus Lees : Les utilisateurs en entreprise ou de systèmes embarqués ne veulent pas se mettre à niveau. Ils veulent prendre un instantané et le faire tourner pendant des années, exactement comme NeXT l'a fait avec 4.3BSD.
[07:54:09] Helen
Anthony Towns, Angus Lees : Avez-vous une opinion sur ce sujet ?
[07:54:09] Angus Lees
Je pense que nous reconnaissons déjà les contributions. La plupart des journaux de changements incluent le nom d'une personne lorsque cela est pertinent – et le scandale qui éclate à chaque fois que quelqu'un ne le fait pas montre que nous le faisons déjà très bien normalement.
[07:54:15] Branden Robinson
Voici une idée pour la gazette hebdomadaire de Debian : chaque semaine, nous pourrions présenter un traducteur ou un spécialiste de la localisation.
[07:54:16] Jonathan Walther
Angus Lees : Nous ne devrions pas essayer de cueillir des oranges sur un pommier.
[07:54:16] Anthony Towns
Martin Krafft : Je ne vois pas ce que tu veux de plus par rapport à ce qui se fait déjà ; citer les noms des gens qui envoient des rustines semble être une pratique courante ; et je suppose que les traductions du site web honorent déjà ceux qui font le travail.
[07:54:24] Matthew Garrett
Andreas Schuldei : Je pense que limiter le nombre de personnes qui travaillent sur un problème de cette taille n'est pas vraiment avisé.
[07:54:26] Branden Robinson
Je pense que le projet KDE le faisait autrefois pour une partie de leurs développeurs.
[07:54:50] Martin Krafft
Anthony Towns : Je pense que le problème est l'absence d'appartenance directe au projet.
[07:54:51] Jonathan Walther
Martin Krafft : Est-ce que les traducteurs ne sont pas cités pour leur travail ?
[07:55:00] Jonathan Walther
Martin Krafft : Est-ce que leurs noms ne sont pas dans les traductions et dans les journaux de changements ?
[07:55:09] Branden Robinson
Est-ce que les traducteurs ne devraient pas devenir des développeurs ?
[07:55:09] Andreas Schuldei
Matthew Garrett : Personne n'est exclu. Certains s'excluent d'eux-mêmes, en abandonnant ou en décidant de boycotter la procédure.
[07:55:15] Martin Krafft
Ils ne sont pas développeurs, et ne sont donc pas reconnus en dehors de leurs contributions individuelles, à mon avis...
[07:55:17] Anthony Towns
Martin Krafft : Si des traducteurs veulent s'impliquer davantage dans Debian et veulent profiter d'un accès de type développeur, je suis partant ; même s'il ne s'agirait que de voter [1] AJ ;)
[07:55:18] Branden Robinson
Ou les gens qui écrivent ou modifient seulement de la documentation ?
[07:55:39] Jonathan Walther
Martin Krafft : J'aimerais personnellement que nos traducteurs reçoivent une addresse personnelle debian.org ; probablement TRUC@translators.debian.org au lieu d'une adresse de premier niveau.
[07:55:46] Branden Robinson écrit lui-même une bonne quantité de documentation.
[07:55:58] Martin Krafft
Où sont les problèmes dans le fait de donner 200 nouveaux comptes aux traducteurs et autres contributeurs ?
[07:56:03] Branden Robinson
Jonathan Walther : DSC ? Développeurs de seconde classe ?
[07:56:13] Angus Lees
Diable, les non-devéloppeurs peuvent même avoir leurs paquets envoyés très facilement. Combien d'autres contributions voulons-nous ?
[07:56:13] Branden Robinson
Des développeurs de plusieurs niveaux ont déjà été proposés.
[07:56:17] Branden Robinson
Je ne suis pas à l'aise avec cette situation.
[07:56:26] Jonathan Walther
Branden Robinson : Un développeur écrit du code, un traducteur est un « contributeur ».
[07:56:34] Jonathan Walther
Branden Robinson : Peut-être TRUC@contributors.debian.org
[07:56:42] Jonathan Walther
Branden Robinson : Un peu comme un grade honoraire dans une université.
[07:56:44] Branden Robinson
Beaucoup de « développeurs » n'écrivent pas de code. Ils le maintiennent.
[07:56:48] Anthony Towns
Martin Krafft : Il n'y a pas de problème, sauf qu'ils doivent passer par le processus d'accès aux nouveaux responsables comme tous les autres. Cela leur demande beaucoup de temps et ne rapporte pas beaucoup d'avantages, si je me rends bien compte.
[07:56:59] Matthew Garrett
D'une certaine manière, je me demande si la fondation GNOME est un modèle qui en vaut la peine – les nécessités pour être membre incluent le fait d'avoir participé à GNOME, mais pas obligatoirement sous forme de code.
[07:57:02] Branden Robinson
Je n'ai certainement pas écrit beaucoup de code lors de mes premières années en tant que responsable de xfree86.
[07:57:05] Jonathan Walther
Branden Robinson : La plupart des développeurs PEUVENT écrire ou CORRIGER le code qu'ils maintiennent, s'ils ont à le faire.
[07:57:10] Andreas Schuldei
Martin Krafft : J'en ai discuté avec les DAM. Ils pensent qu'il est difficile de définir la limite.
[07:57:18] Martin Krafft
Est-ce que vous, les candidats, voudriez refaire la procédure d'accès aux nouveaux responsables, anonymement, et rendre compte ensuite de votre expérience ?
[07:57:20] Jonathan Walther
Branden Robinson : Je ne connais aucun développeur Debian qui ne puissent au moins programmer un chemin pour sortir d'un sac en papier.
[07:57:28] Branden Robinson
Jonathan Walther : Euh.
[07:57:31] Matthew Garrett
Martin Krafft : Absolument.
[07:57:35] Jonathan Walther
Martin Krafft : Bien sûr.
[07:57:45] Branden Robinson
Je connais des employés chez Red Hat ayant leurs noms sur des logiciels bien connus et qui ne peuvent pas coder de chemin pour sortir d'un sac en papier :-P
[07:57:46] Martin Krafft
Quelqu'un d'autre ?
[07:57:47] Anthony Towns
Notez que nous avons commencé à accepter des personnes qui n'empaquettent pas dans le processus d'accueil des nouveaux responsables, et espérons que les « compétences concernant debian/rules à avoir absolument » ne seront plus si importantes dans le futur.
[07:57:51] Andreas Schuldei
Martin Krafft : L'exemple donné était : est-ce que quelqu'un qui offre une machine ou de la bande passante pourrait également devenir un développeur Debian, avec les droits de vote ?
[07:57:52] Matthew Garrett
Cependant, cela ressemble un peu à un problème logistique pour rester vraiment anonyme.
[07:57:58] Branden Robinson
Mais j'ai des standards élevés, et je deviens grognon :)
[07:58:03] Matthew Garrett
(Des fausses clés GPG, ces sortes de choses.)
[07:58:06] Andreas Schuldei
Martin Krafft : Ils contribuent également.
[07:58:09] Angus Lees
Martin Krafft : Bien sûr.
[07:58:28] Branden Robinson
Martin Krafft : Oui.
[07:58:28] Martin Krafft
OK, nous approchons de la fin.
[07:58:33] Martin Krafft
J'ai deux autres questions pour vous :
[07:58:52] Martin Krafft
Si vous ne pouviez pas voter pour vous, pour qui le feriez-vous et pourquoi ? Soyez courts...
[07:58:53] Anthony Towns imagine une piscine remplie de piranhas endormis.
[07:59:01] Andreas Schuldei
Martin Krafft : Je pense personnellement que Debian devrait essayer de trouver une manière de donner le droit de vote aux artistes, traducteurs, organisateurs d'événements, etc.
[07:59:10] Angus Lees
Martin Krafft : Hé. Jolie question.
[07:59:29] Branden Robinson voterait pour Andreas. En temps que partenaire de l'équipe de direction du projet, je lui fais confiance pour prendre en considération mes propositions sérieusement.
[07:59:41] Branden Robinson
Cependant, comme d'habitude, nous avons une brochette plutôt élevée de candidats.
[07:59:44] Matthew Garrett
Je suis complètement en désaccord avec Anthony sur la question du niveau de communication attendu pour les équipes, mais nos autres visions semblent être plutôt semblables. Donc lui.
[08:00:14] Angus Lees
« Jonathan Walther », car il a probablement encore moins de chance de gagner que moi :P
[08:00:19] Anthony Towns
Je pense que nous avons des bulletins anonymes pour une raison ;) J'hésite entre Matthew et Andreas pour le moment, mais je n'ai pas encore eu le temps de lire les réponses des gens de la première heure.
[08:00:25] Martin Krafft
Angus Lees : C'était en dessous de la ceinture.
[08:00:30] Andreas Schuldei
mdr
[08:00:39] Angus Lees
Oui, ça l'était pour un tel forum public.
[08:00:47] Martin Krafft
Les autres ?
[08:00:49] Anthony Towns
banhim!ban!ban!bannityban!
[08:00:51] Anthony Towns
err
[08:00:54] Jonathan Walther
Angus Lees : Ça reste très correct, en comparaison à ce que j'ai pu entendre ailleurs.
[08:01:11] Martin Krafft
Nous avons encore une question de la communauté :
[08:01:19] Angus Lees
Sérieusement, je dirais probablement AJ, car je suis anxieux avec cette histoire d'équipe DPL.
[08:01:22] Branden Robinson redirige les gens sur sa réfutation de cette année pour en savoir plus sur les autres candidats.
[08:01:26] Martin Krafft
Quel est le minimum d'activité que nous pouvons attendre des développeurs ?
[08:01:46] Branden Robinson
Martin Krafft : C'est proportionnel à la quantité de responsabilités qu'ils ont acceptée.
[08:01:48] Andreas Schuldei
Branden a en plus le « côté sérieux » de participer à l'équipe DPL. Il ne sous-estime pas la tâche.
[08:01:52] Jonathan Walther
Martin Krafft : Autant qu'ils peuvent en recevoir.
[08:01:56] Matthew Garrett
Un développeur inactif n'est pas un problème. Un obstruant en est un.
[08:02:05] Branden Robinson
S'ils maintiennent des paquets, j'attends d'eux qu'ils s'occupent de leurs bogues.
[08:02:18] Branden Robinson
Résoudre immédiatement ceux qui sont critiques pour la publication, et corriger le plus de bogues non amont possible.
[08:02:23] Jonathan Walther
Martin Krafft : La plupart des développeurs sont volontaires et ont un travail dans la vie réelle et une carrière.
[08:02:45] Martin Krafft
OK... concluons...
[08:02:45] Martin Krafft
En une phrase : Qu'est-ce qui fait de vous un bon chef de projet pour Debian ?
[08:02:50] Matthew Garrett
Je ne pense pas que nous avons le droit de demander aux gens de travailler à un certain niveau, mais s'ils acceptent des responsabilités sans y mettre assez d'efforts, alors il serait socialement acceptable que quelqu'un d'autre récupère cette responsabilité.
[08:03:00] Branden Robinson
En général, comme Matthew l'a signalé, je ne pense pas que nous remarquions les développeurs inactifs jusqu'à ce qu'ils bloquent les progrès du projet d'une manière ou d'une autre.
[08:03:20] Branden Robinson
Et de tels blocages sont facilement remarqués et acceptés comme problématiques.
[08:03:28] Martin Krafft
Andreas Schuldei, Jonathan Walther : Pour qui voteriez-vous ?
[08:04:05] Martin Krafft
Il reste deux minutes.
[08:04:05] Matthew Garrett
Je désire vexer certaines personnes pour rendre les choses meilleures pour tous les autres.
[08:04:09] Angus Lees
Martin Krafft : Indépendence, personnalité, et expérience confirmée.
[08:04:31] Andreas Schuldei
Oh, j'ai dit Branden Robinson.
[08:04:32] Anthony Towns
Euh, je pense que résumer en une phrase est un exercice biaisé pour moi et Branden :)
[08:04:45] Andreas Schuldei
Branden a en plus le « côté sérieux » de participer à l'équipe DPL. Il ne sous-estime pas la tâche.
[08:04:46] Martin Krafft
Restez courts.
[08:04:58] Martin Krafft
Anthony Towns : ^
[08:05:06] Anthony Towns
(Et ceci pourrait être ma phrase : si vous décidez de votre vote en une phrase, vous suivez votre intuition, et dans ce cas, cela est bien pour vous :)
[08:05:19] Branden Robinson
Je ferais un bon chef de projet pour Debian car c'est moi qui y ai travaillé le plus dessus, j'ai constamment tourné mon attention sur les zones à problèmes, je combine la capacité de travailler avec les autres et la résistance à l'intimidation, et je vis avec et respire les idéaux du projet Debian tous les jours.
[08:05:54] Branden Robinson
Oh, et j'essaie de savoir quand je dois rire de moi-même. Comme maintenant, où je viens d'être un peu trop génial dans ma réthorique :-P
[08:06:08] Martin Krafft
Jonathan Walther : ?
[08:06:22] Jonathan Walther
Je serais un bon chef de projet car je n'ai PAS PEUR, comme mon homonyme Jonathan, fils de Shaoul, qui a grimpé au haut d'une falaise et qui d'une main a attaqué une forteresse béotienne entière.
[08:06:24] Angus Lees
Branden Robinson : Et j'allais justement te donner la récompense de la phrase la plus longue :P
[08:06:29] Anthony Towns
Voyez, Brandon n'a pas pu le faire non plus !
[08:06:32] Andreas Schuldei
J'ai commencé à travailler sur les questions qu'un DPL doit gérer. Je continuerai à le faire si je suis élu.
[08:06:33] Anthony Towns
Mauvais !
[08:06:38] Anthony Towns
Annulez le débat ! Reprogrammez-le !
[08:06:50] Martin Krafft
OK, le débat est annulé^Wfini.
[08:06:52] Branden Robinson
Anthony Towns : Le dernier morceau était, heu, une note de bas de page. Oui, oui, c'est l'amende !
[08:07:01] Martin Krafft
Merci à tous d'avoir participer.
[08:07:12] Martin Krafft
Nous pouvons maintenant retourner aux 300 messages quotidiens sur debian-vote.
[08:07:13] Matthew Garrett
Merci beaucoup aux modérateurs. Je sais qu'ils sont aussi fatigués que moi...
[08:07:18] Branden Robinson
Merci pour avoir relevé le défi logistique, Martin et Helen.
[08:07:21] Martin Krafft
J'espère que vous en avez profité (au moins) à la moitié de mon niveau.
[08:07:24] Andreas Schuldei
Merci pour vos efforts, Helen et Martin Krafft !
[08:07:27] Helen
Merci à Martin Krafft d'avoir travaillé avec moi pour faire cela :)
[08:07:30] Martin Krafft
Matthew Garrett : Je tombe presque.
[08:07:32] Jonathan Walther
Salut salut !
[08:07:34] Angus Lees
Merci. Je vais essayer d'arrêter de faire tourner mes yeux autant qu'ils le font pour le moment.
[08:07:46] Anthony Towns
Et également pour l'horaire bien tenu :)
[08:07:48] Martin Krafft
Les candidats : Vous êtes invités à continuer sur -discuss.
[08:08:10] Martin Krafft
Je ferai suivre sur -vote et -devel-announce.
[08:08:14] Helen
Et merci à helix, slef, Rhonda et dondelelcaro pour avoir aidé à gérer le canal -discuss et transférer les questions ici.