Programme de DPL 2019 de Sam Hartman

Biographie

J’ai rejoint Debian en 2000. Les grandes sociétés possédaient un tas d’avantages en ayant une infrastructure d’entreprise qui fournissait des authentifications, des autorisations et des approvisionnements centralisés. En observant le Project Athena au MIT, j’étais conscient combien cette infrastructure était bénéfique. J’ai travaillé avec l’amont de Kerberos jusqu’à la fin de mon parcours universitaire. Je voulais être sûr que la même infrastructure existait dans la communauté du logiciel libre. Donc, j’ai commencé à empaqueter Kerberos et les logiciels liés.

À ce moment-là, les logiciels de chiffrement ont été scindés dans la distribution non-US à cause des lois sur l’exportation. Cela rendait mon travail beaucoup plus difficile. J’ai empaqueté les logiciels, mais j’ai dû travailler avec d’autres responsables pour construire la prise en charge de Kerberos et d’autres technologies d’infrastructure dans de plus en plus de paquets.

Ben Collins a joint un groupe de personnes pour voir s’il était possible d’avoir les logiciels de chiffrement dans l’archive principale. Ma contribution pour cet initiative a été du côté légal plus que du côté technique. Avec un groupe d’amis, nous avons passé plusieurs jours à parcourir ligne par ligne la réglementation US pour préparer un ensemble de questions à poser aux juristes. Avec Bdale et une aide généreuse d’HP, les réponses à mes questions nous ont donné confiance en une voie légale à suivre. D’autres ont réalisé le travail technique pour permettre à dak de fournir les notifications nécessaires pour répondre aux règlements idiots du jour. Finalement, nous avons pu déplacer les logiciels de chiffrement dans l’archive principale et supprimer la distribution non-US.

Depuis lors, j’ai continué à m’impliquer dans Debian. Pendant quelques années je n’ai fait qu’entretenir des paquets. D’autres années, Debian est devenue une préoccupation centrale. Dans mon travail sur le Projet Moonshot, Debian a été essentielle pour démontrer comment un nouveau mécanisme de sécurité pourrait être intégré dans un système d’exploitation. Mon travail sur Kerberos et le Projet Moonshot ne concernait que les logiciels libres. Quelquefois mes employeurs s’intéressaient plus aux travaux propriétaires, quoique je me suis toujours retrouvé dans des entreprises acceptant une implication dans la communauté du logiciel libre. Au fil des années, le logiciel libre est devenu plus important pour moi, et j’ai considéré que la liberté d’une solution m’importait plus lorsque je cherchais à résoudre mes problèmes informatiques.

Pendant un certain nombre d’années, j’étais le directeur de la technologie du Consortium Kerberos du MIT. Dans cet emploi, nous travaillions avec plusieurs fournisseurs de système d’exploitation et d’autres parties prenantes dans Kerberos pour satisfaire les besoins et l’évolution de notre communauté. J’ai aussi travaillé pendant trois ans comme administrateur du périmètre de sécurité de l’Internet Engineering Taskforce.

Lorsque je ne travaille pas sur Debian ou dans mon emploi de tous les jours, j’écris, je lis, j’apprends à naviguer ou je profite pleinement de la vie. L’année dernière, j’ai appris à devenir DJ. Cela m’a conduit à écrire mes propres logiciels de DJ parce que l’existant est trop visuel pour être utilisé par un DJ non voyant. Ce n’est pas encore empaqueté dans Debian parce que j’ai besoin d’un greffon n’existant pas en amont et n’ai pas écrit suffisamment de documentation pour que ce soit utilisable par quelqu’un d’autre.

La spiritualité est très importante pour moi. J’ai passé beaucoup de temps à écrire et penser comment apporter plus de compassion, de communication et d’amour dans le monde. Debian ressemble à un foyer à cause de sa communauté si diverse et parce que nous voyons notre travail comme un moyen de rendre le monde meilleur, pas comme un moyen d’avoir un salaire toujours croissant.

Toujours garder Debian amusant

Lucas Nussbaum a écrit un excellent résumé sur les responsabilités du DPL. Parmi celles-ci, je pense que la plus importante est de conserver Debian amusante. Nous voulons des gens qui aiment contribuer à Debian de façon qu’ils lui donnent une priorité dans la programmation de leurs tâches. Nous voulons qu'il soit facile de travailler : les processus et les interactions devraient être simplifiés. Lorsque des gens ont des préoccupations ou des choses qui ne fonctionnent pas, nous voulons les écouter et tenir compte de ce qu’ils expriment. Nous voulons que Debian soit accueillante aux nouveaux contributeurs.

Debian n’est pas amusante quand nous faisons face à des discussions épuisantes, longues et échauffées. Ce n’est pas agréable quand nous ne pouvons pas faire avancer un projet parce nous ne pouvons pas découvrir comment faire que nos idées soient prises en compte ou comment réellement participer. Debian n’est pas amusante lorsque les procédés et les outils sont fastidieux. Lorsque les équipes clefs sont cassées ou se bloquent, Debian n’est pas amusante pour les membres de ces équipes ou pour ceux qui dépendent d’elles. Debian n’est pas amusante quand elle n’est par sûre, quand nous ne sommes pas respectés, lorsque nous sommes persécutés ou quand nous sommes (plutôt que nos idées) jugés. Je défends notre Code de conduite.

Il existe plusieurs manières que j’envisage de développer pour garder Debian amusante.

Écoute : désaccord sans escalade

J’ai eu le plaisir de servir dans le Comité technique (CT) de Debian. Dans ce rôle, la chose dont je me souviens avec le plus de fierté est l’écriture d’une explication de pourquoi l’équipe de publication aurait dû rejeter les changements dans busybox-static que le responsable considérait comme importants. Le responsable n’a pas compris la décision de l’équipe de publication et a fait appel au Comité technique, nous demandant soit d’annuler cette décision, soit de l’expliquer.

Le ressenti importe. Avoir ses besoins émotionnels satisfaits est une partie critique pour une communauté amusante et sécurisante. En 2012, j’ai découvert la Communication non violente. La CNV est un cadriciel d’empathie qui m’a donné les outils pour comprendre et travailler avec mes émotions et leur provenance. C’est un cadre pour parler de choses qui sont importantes pour nous et pour communiquer, même si nous ne sommes pas d’accord. Lorsque je comprend que quelqu’un a entendu ce que je dis, mes muscles se relâchent et ma respiration s’apaise. Je me sens soulagé et parfois joyeux, souvent même quand mon option préférée n’est pas choisie. Debian nécessite le plus de tout cela.

Mes pensées sur comment veiller à nos besoins émotionnels ont évolué au cours des ans mais sont certainement influencées et inspirées par les remarques d’Enrico Zini dans son exposé lors de Debconf 18.

Debian est une communauté. Nous devons nous donner les uns les autres les outils dont nous avons besoin pour réussir dans Debian. Une façon de traiter avec respect les membres de notre communauté est de les écouter. Quand vous recommandez quelqu’un, quand vous remplissez un rapport de gestionnaire d’application recommandant que quelqu’un rejoigne notre communauté, ou quand vous acceptez d’être un parrain, vous êtes en train de dire que quelqu’un est suffisamment précieux pour notre communauté, pour que nous dépensions des moyens pour qu’il puisse réussir. Le succès dans une communauté n’est pas seulement technique mais aussi émotionnel.

Cependant, expliquer les choses, particulièrement de manière répétée, particulièrement quand d’autres sont plus concentrés à nous convaincre qu’ils ont raison que de commencer à comprendre, est exténuant. Une raison pour laquelle j’ai choisi l’exemple de busybox-static est que je l’ai écrit, pas l’équipe de publication. Elle était occupée à travailler sur une publication de Debian et j’étais occupé à essayer de prendre soin d’un membre de notre communauté.

Un de mes principaux rôles comme DPL sera d’assurer que Debian soit une communauté où nous pouvons être entendus et où nous avons l’opportunité de parvenir à être compris, que nos idées l’emportent ou non. Je ferai cela en participant personnellement à de telles médiations et en recrutant d’autres personnes pour ces efforts de médiations. Finalement, j’espère que beaucoup d’entre nous s’amélioreront en chercher à comprendre et à éviter les débordements de discussions d'eux-mêmes. Depuis mon courriel sur la compassion et les systèmes init, j’ai travaillé à trouver un lieu pour réaliser cela. J’en ai parlé quand j’ai rejoint le CT. Le CT a fini par ne pas être le bon endroit pour cette tâche.

Et pourtant le travail est toujours important. Ce que j’ai écrit sur les responsables qui abandonnent leurs paquets plutôt que de se concerter avec le CT est juste une escalade de plus dans une longue série. Nous sommes conscients que des gens se sont retirés parce qu’ils étaient frustrés. Je ne m’inquiète pas du renouvellement : Debian continue d’être une communauté dynamique qui est amusante pour beaucoup d’entre nous. Si des personnes nous ont quittés parce que leurs besoins (ou même les objectifs de Debian) ont changé, tout va bien. J’espère que nous pouvons faire mieux pour éviter que les gens partent du projet amers et frustrés. J’espère que nous pouvons offrir de la compassion.

Le travail de médiation est trop important pour être géré par une seule personne. Comment l’organiser n’est pas très clair. Ce qui est clair aujourd’hui, c’est que le DPL est au centre de cette tâche. L’équipe d’anti-harcèlement a aussi un rôle. Je serai volontaire pour les aider au début de l’année et nous travaillons à déterminer comment je pourrais m’intégrer dans ce processus indépendamment de l’élection du DPL. À long terme, il semble que l’équipe d’anti-harcèlement, les responsables d’accréditation, et avec un peu de chance le DPL, planifient une rencontre. Je pense que travailler sur comment organiser ce travail de médiation de façon à réussir et éviter un surmenage est une question importante à l'ordre du jour.

Comme DPL, la médiation et l’apport de compassion dans Debian seront parmi mes objectifs clefs. J’ai des idées particulières sur la façon dont j’aimerais essayer faire ce travail, donc je serai personnellement impliqué. Cependant, bâtir une équipe de façon à pouvoir gérer plus d’une valeur de médiation de DPL et donc que les futurs DPL puissent choisir leur propre objectif, est aussi important que la réussite de médiations individuelles.

Prises de décisions interminables

Nous avons perdu beaucoup de développeurs parce qu’ils étaient frustrés avec nos outils et nos procédés. Une des plaintes les plus courantes que j’ai entendue est que la large diversité de déroulement des opérations dans Debian vous concerne quand vous voulez contribuer à un grand nombre de paquets. Je sais que pour moi-même, nos procédés rendent si difficile de corriger un bogue critique pour la publication dans un paquet dont je ne suis pas responsable que je suis moins susceptible de le faire.

Plus que la seule frustration avec les outils et procédés, existe la perception que faire des modifications est difficile. Nous avons eu des tas de discussions sur les améliorations potentielles, mais quelquefois il est difficile de prendre réellement une décision. Comme quelqu’un l’a déclaré récemment sur IRC, il est difficile d’aller de l’avant quand la frustration de quelqu’un est qu’une autre personne veut la main sur le système.

Je ne pense pas que le DPL puisse ou devrait trancher ces problèmes. Cependant, comme DPL je voudrais avoir des outils pour faire avancer ces discussions, être sûr d’être à l’écoute de la communauté et finalement prendre une décision. Quelquefois la décision devrait être que nous aimons les choses telles qu’elles sont. Même cela est bénéfique : cela met fin à la discussion. Si nous faisons un bon travail, même les partisans d’autres approches se sentiront écoutés. Même s’ils nous quittent, cela sera avec plus d’empathie et de respect que nous avons quelquefois aujourd’hui.

J’ai passé beaucoup d’années à construire un consensus à la fois dans Debian et dans des organisations telles que IETF. Je sais comment synthétiser où nous en sommes dans une discussion, relever là où il y a consensus et quels points semblent bloquer le processus.

Il est utile que le DPL examine ces problèmes et trouve quand prendre une décision serait bénéfique. En général, ce sont des secteurs où un plus large soutien aiderait à renforcer des gens essayant de réaliser quelque chose et où suffisamment de discussions ont eu lieu pour que nous soyons en position de parvenir à une décision. Une fois prise, une décision est bénéfique. Le DPL possède des outils pour conduire le processus même si un consensus n’est pas possible.

Le DPL peut transférer des problèmes au Comité technique. N’importe quel développeur peut le faire, mais je pense que le DPL peut le faire d’une manière moins conflictuelle qu’un développeur individuel. « Nous avons discuté de cela le plus possible dans le cadre du projet. Je pense qu’une décision est bénéfique pour le projet. Voici où nous sommes arrivés dans nos discussions » me semble moins conflictuel que de demander de passer outre quelque responsable.

Je pense que la possibilité du DPL de proposer des résolutions générales est sous-utilisée. Je pense qu’une proposition de GR par le DPL, incluant toutes les options majeures pourrait être une manière moins conflictuelle pour clore un problème qu’un développeur individuel proposant une GR et recherchant des seconds. Si le procédé ressemble beaucoup plus à un sondage du projet et à un guidage de la résolution vers une discussion politique, je pense que voter amène les choses à leur fin.

J’espère trouver des moyens de réduire les stigmates associés au fait d’élargir des problèmes importants à une plus large audience. Je pense que ce devrait toujours être le cas lorsqu’outrepasser une décision particulière n’est possible qu’à un coût plus grand. Cependant, souvent lorsque nous avons dû faire face à une décision controversée, nous avons réalisé que c’était une question politique plus large à laquelle il est répondu et qui anticipe de futures décisions. Une fois détaché de la décision initiale, je pense que répondre à ces questions politiques peut être bénéfique. Quelquefois, il serait utile de répondre à ces questions dans un forum plus important que le groupe rendant la décision originale. Élargir le forum comme cela ne devrait pas être vu comme un manque de confiance dans aucune de nos équipes ou faiseurs de décision. Il s’agit plutôt de travailler avec une plus grande communauté.

Point de contact : explication de Debian

Le DPL remplit un rôle important comme point de contact pour Debian. Le DPL a la possibilité d’expliquer Debian aux autres organisations et à la presse. Le DPL a la possibilité de comprendre les préoccupations d’autres organisations et de les aider à contacter les parties concernées de Debian pour progresser.

Je pense que ce travail est très important et je pense que je suis bon pour ça. J’ai l’expérience de la construction de ces sortes de pont avec mon emploi précédent comme directeur de la technologie du Consortium Kerberos du MIT ainsi que dans mes emplois à l’IETF. Je n’ai pas eu ce rôle officiellement dans Debian, mais j’ai servi régulièrement de porte-parole dans d’autres cercles professionnels.

Discours dans des conférences

Le DPL traditionnellement a joué le rôle de représentant de Debian dans des conférences. Ces dernières années, je n’ai pas réellement participé à beaucoup de conférences informatiques. Si je suis élu, j’envisage de prêter plus d’attention sur les conférences que je ne l’ai fait récemment. Je pense que c’est un domaine dans lequel je peux m’améliorer.

Même ainsi, je ne peux pas passer autant de temps dans des conférences que certains anciens DPL. Je pense que c’est un domaine où travailler avec une équipe devrait bien fonctionner.

Soutien du logiciel libre

La communauté du logiciel libre équilibre quelques compromis intéressants. Il y a plus de logiciels libres que jamais auparavant. Linux et les logiciels au code source ouvert sont largement acceptés. Cependant, un certain nombre de groupes bien pourvus travaillent très durement pour être sûrs de contrôler à quelle liberté leurs utilisateurs auront droit. Ils travaillent pour éviter le copyleft et pour utiliser le logiciel libre comme plateforme sur laquelle leurs solutions propriétaire sont basées. Même quand le logiciel est libre, il se connecte souvent à des services web non libres. Une liberté de l’utilisateur serait limitée par les agréments autour de ces services web et en n’ayant pas de contrôle sur leurs données.

Debian joue un rôle critique dans cette communauté parce que nous sommes un point de rencontre entre l’amont, l’aval et le spectre entier des points de vue de ce que le logiciel libre devrait être et sur comment nous devrions protéger la liberté de nos utilisateurs. Aussi longtemps que vous suivez les DFSG et le contrat social, dans votre travail sur Debian, vous êtes le bienvenu ici.

Je pense que le DPL a un rôle important dans le travail dans cet environnement. Les spécificités tendent à être différentes d’année en année. Debian a des opportunités pour aider certaines initiatives ou faire entendre sa voix. Je ne sais pas ce que 2019 va apporter, mais reconnais que ce sera important et quelque chose sur quoi je me concentrerai en tant que DPL.

Soutien des efforts en cours

Le DPL se doit de soutenir les efforts en cours. Dans beaucoup de cas, cela implique rester en dehors en attendant que l’aide du DPL soit nécessaire. Je soutiens l’effort en cours de toutes les équipes déléguées.

Je voudrais rappeler spécialement les efforts des équipes Diversity et Outreach. Ces équipes travaillent sur des améliorations culturelles dans Debian et travaillent pour attirer de nouveaux membres dans notre communauté. Les deux efforts à long terme sont importants pour faire de Debian une communauté divertissante dans le futur.

Finances

Je continuerai à soutenir une politique similaire d’approbation des dépenses à celle suivie par le DPL actuel. En particulier, je soutiens l’approbation des dépenses pour la participation aux chasses aux bogues de Debian.

J’ai travaillé sur des budgets aussi imposants que celui de Debian, à la fois comme propriétaire d’une petite entreprise et comme gestionnaire dans des organisations plus grandes. Dans ces occupations, j’avais accès à plus d’informations financières que j’espère avoir comme DPL. Ma compréhension est que notre argent est réparti à travers plusieurs organisations de confiance, chacune avec ses propres politiques et procédures. En conséquence, c’est un challenge pour Debian de comprendre entièrement son financement.

Je pratiquerai un niveau approprié de diligence raisonnable et soutiendrai les efforts en cours de l’équipe trésorière. Cependant, améliorer les finances de Debian et la responsabilité financière sont quelque chose que je n’attends pas être des points clefs si je suis élu DPL. C’est un travail formidable, mais cette année, je pense que les facteurs humains et garder Debian amusante sont plus importants. Je suis très ouvert pour travailler avec des gens qui veulent avancer dans ce domaine.

Équipe du DPL

Il y a eu un tas de discussions cette année à propos de faire des changements dans la gouvernance de Debian et de créer une équipe de DPL plutôt qu’un seul DPL. Je pense qu’une équipe de DPL est une grande idée, mais je ne vois pas de modifications significatives nécessaires dans la gouvernance.

Je soupçonne que les délégations existantes de publicité, trésorerie et quelques autres ont débuté comme tâches que le DPL réalisait mais étaient devenues trop lourdes à gérer pour une seule personne. Pour quelques tâches, une délégation serait appropriée. Pour d’autres, il suffirait simplement travailler avec d’autres personnes.

Je pense qu’une équipe peut aider dans les domaines suivants :

Je suis ouvert pour employer des équipes dans d’autres domaines où le travail est établi comme plus important que celui attendu.


Globalement, je pense que Debian est une grande communauté. Le panorama entourant les systèmes d’exploitation change et évolue rapidement. Les gens trouvent de nouvelles façons d’utiliser Debian ainsi que les outils et blocs de construction que nous fournissons. Notre universalité est plus importante que jamais. Nous pouvons réussir comme communauté en nous emparant, accueillant et construisant sur ces efforts d’où qu’ils viennent, de nos membres ou de l’extérieur.

Je suis enthousiaste à propos de Debian. Je suis impatient de construire une grande communauté encore meilleure. Je suis impatient de parler avec vous tous puisque nous allons explorer et parfaire les plans de tous les candidats pendant les prochaines semaines. Merci pour votre attention.

Réfutations

Suivre le début de la discussion a été excitant. Nous avons constaté le grand intérêt à améliorer notre projet. Heureusement, parmi un tas de propositions, nous pouvons choisir toutes les précédentes plutôt que d’en choisir juste une.

Je pense que je suis le meilleur choix de DPL parce que je suis bon pour faire consensus, prendre des décisions et à communiquer. Cependant, je regarde comment je pourrais travailler avec les autres candidats et le projet dans son ensemble. Je voudrais prendre du temps pour examiner comment précisément j’aimerais travailler avec les autres candidats.

Jonathan Carter

Si je suis élu, je voudrais travailler avec Jonathan pour mettre en œuvre un certain nombre de ses idées :

Joerg Jaspert

J’ai été réellement ravi d’apprendre que Joerg est intéressé par le projet de remplacer les paquets source de Debian par Git. Je pense que le projet devrait l’aider et lui fournir l’aide qu’il pense nécessaire en confirmant que c’est la direction que nous voulons et en mettant en œuvre une solution.

J’espère travailler avec Joerg dans toutes ses responsabilités.

Martin Michlmayr

Martin a évoqué deux idées intéressantes :

Je suis intéressé par ces idées. Martin n’a pas encore répondu à ma question d’étudier comment régler les problèmes qui sont apparus la dernière fois que des idées semblables ont été soulevées. En supposant que nous puissions trouver de bonnes réponses à ces problèmes, je suis très favorable à ces idées et approcherai Martin et lui demanderai s’il est disponible pour faire avancer ces idées.